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Une bonne et heureuse nouvelle

Mme Eun-Sook CHOI  CHABAL, Maître de Conférences en Langue et Civilisation coréennes à l’université du Havre, est récipiendaire de la prestigieuse distinction du Président de la République de la Corée du Sud en reconnaissance de son mérite pour la diffusion et le développement du Hangeul, qui lui a été remise officiellement par le premier ministre à Séoul le 9 octobre 2015 lors de la cérémonie de commémoration du 569e anniversaire de la promulgation de l’alphabet coréen, Hangeul.

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saison de coree

du 18 septembre 2015 au 14 mars 2016
au Musée national des Arts asiatiques Guimet

Cet automne, le Musée national des Arts asiatiques Guimet met la Corée à l’honneur

Saison organisée dans le cadre des années croisées célébrant, en 2015, le 130e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Corée. À travers trois expositions et une programmation spéciale à l’auditorium, le musée propose de découvrir l’art de ce pays encore trop méconnu en France. Saison de Corée en explore les facettes variées jusqu’au plus contemporain.

Carte blanche à Lee Bae inaugure cette saison le 18 septembre 2015 (jusqu’au 25 janvier 2016), avec une installation présentée dans la rotonde du 4e étage du musée. Établi à Paris depuis 1990, l’artiste plasticien coréen Lee Bae (né en 1956 à Chung-Do en Corée du Sud) a instauré une forme de connivence avec le charbon, matériau au centre de son imaginaire et à la forte portée symbolique et rituelle dans la culture coréenne. Sa démarche tient à la fois de la performance, de la peinture et du dessin. D’une grande cohérence plastique, elle conjugue perception de la matière et de la lumière, opposition du noir et du blanc, et ouvre une réflexion sur le temps. La carte blanche proposée par le MNAAG à Lee Bae a donné lieu à une intervention qui réunit peinture, sculpture et vidéo au sein d’un espace conçu par l’artiste comme une « grotte contemporaine », sous la voûte de la rotonde du musée.

Intérieur coréen, œuvres de In-Sook Son, présente, du 18 septembre 2015 au 14 mars 2016, le travail de l’artiste contemporaine In-Sook Son. Il s’inscrit dans une pratique de la Corée traditionnelle sur laquelle elle porte un regard résolument moderne. Art hors du commun et savoir-faire d’exception, l’Œuvre de l’artiste est présenté pour la première fois hors de Corée. Il propose une lecture tant esthétique que sociale d’un art féminin dans la société coréenne et présente les genres emblématiques de l’art textile, les hanbok (costumes traditionnels), les costumes de cour, mais aussi les pojagi (tissus enveloppants), les paravents, etc.

Tigres de papier, cinq siècles de peinture en Corée, du 14 octobre 2015 au 22 février 2016. À partir de sa riche collection de peintures coréennes, l’une des plus importantes hors de Corée, le MNAAG retrace les thématiques et l’évolution de cinq siècles de peinture en Corée. Rouleaux, albums, paravents, offrent un panorama tantôt coloré, tantôt délicatement peint à l’encre, de la Corée, du 14e au début du 20e siècle. Explorant tour à tour la peinture religieuse, la peinture de lettrés, les créations décoratives à la veine parfois presque populaire, cet ensemble frappe par son éclectisme et son inventivité moderne. Les scènes de genre et les cérémonies populaires évoquent la vie et les croyances d’une société confucéenne qui fit sienne les codes du palais. Cherchant sa propre voie vers la modernité, la société coréenne tendit à se démarquer de la Chine, illustre modèle. Son répertoire singulier est empreint de finesse, d’humour et de poésie, l’improbable dialogue fréquent dans la peinture coréenne, du tigre et du moineau, incarnant cette verve pleine de merveilleux.

Saison de Corée investit également l’auditorium du musée avec un cycle de films de fictions, des documentaires, une rétrospective de l’histoire des meilleurs films du cinéma coréen, un cycle de films « jeune public » et des conférences, des lectures, etc. Les trois expositions ont reçu le label de l’Institut français et constituent les manifestations phares de la programmation de la Saison France-Corée.

Voir le site de la “Saison de Corée”

saison de coree

du 18 septembre 2015 au 14 mars 2016
au Musée national des Arts asiatiques Guimet

Cet automne, le Musée national des Arts asiatiques Guimet met la Corée à l’honneur

Saison organisée dans le cadre des années croisées célébrant, en 2015, le 130e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Corée. À travers trois expositions et une programmation spéciale à l’auditorium, le musée propose de découvrir l’art de ce pays encore trop méconnu en France. Saison de Corée en explore les facettes variées jusqu’au plus contemporain.

Carte blanche à Lee Bae inaugure cette saison le 18 septembre 2015 (jusqu’au 25 janvier 2016), avec une installation présentée dans la rotonde du 4e étage du musée. Établi à Paris depuis 1990, l’artiste plasticien coréen Lee Bae (né en 1956 à Chung-Do en Corée du Sud) a instauré une forme de connivence avec le charbon, matériau au centre de son imaginaire et à la forte portée symbolique et rituelle dans la culture coréenne. Sa démarche tient à la fois de la performance, de la peinture et du dessin. D’une grande cohérence plastique, elle conjugue perception de la matière et de la lumière, opposition du noir et du blanc, et ouvre une réflexion sur le temps. La carte blanche proposée par le MNAAG à Lee Bae a donné lieu à une intervention qui réunit peinture, sculpture et vidéo au sein d’un espace conçu par l’artiste comme une « grotte contemporaine », sous la voûte de la rotonde du musée.

Intérieur coréen, œuvres de In-Sook Son, présente, du 18 septembre 2015 au 14 mars 2016, le travail de l’artiste contemporaine In-Sook Son. Il s’inscrit dans une pratique de la Corée traditionnelle sur laquelle elle porte un regard résolument moderne. Art hors du commun et savoir-faire d’exception, l’Œuvre de l’artiste est présenté pour la première fois hors de Corée. Il propose une lecture tant esthétique que sociale d’un art féminin dans la société coréenne et présente les genres emblématiques de l’art textile, les hanbok (costumes traditionnels), les costumes de cour, mais aussi les pojagi (tissus enveloppants), les paravents, etc.

Tigres de papier, cinq siècles de peinture en Corée, du 14 octobre 2015 au 22 février 2016. À partir de sa riche collection de peintures coréennes, l’une des plus importantes hors de Corée, le MNAAG retrace les thématiques et l’évolution de cinq siècles de peinture en Corée. Rouleaux, albums, paravents, offrent un panorama tantôt coloré, tantôt délicatement peint à l’encre, de la Corée, du 14e au début du 20e siècle. Explorant tour à tour la peinture religieuse, la peinture de lettrés, les créations décoratives à la veine parfois presque populaire, cet ensemble frappe par son éclectisme et son inventivité moderne. Les scènes de genre et les cérémonies populaires évoquent la vie et les croyances d’une société confucéenne qui fit sienne les codes du palais. Cherchant sa propre voie vers la modernité, la société coréenne tendit à se démarquer de la Chine, illustre modèle. Son répertoire singulier est empreint de finesse, d’humour et de poésie, l’improbable dialogue fréquent dans la peinture coréenne, du tigre et du moineau, incarnant cette verve pleine de merveilleux.

Saison de Corée investit également l’auditorium du musée avec un cycle de films de fictions, des documentaires, une rétrospective de l’histoire des meilleurs films du cinéma coréen, un cycle de films « jeune public » et des conférences, des lectures, etc. Les trois expositions ont reçu le label de l’Institut français et constituent les manifestations phares de la programmation de la Saison France-Corée.

Voir le site de la “Saison de Corée”

Korea Now
du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016
au Musée des Arts Décoratifs de Paris


Dans le cadre de la manifestation organisée sous l’égide de l’Année France-Corée, présidée par Henri Loyrette et réalisée en partenariat avec la KCDF – Korea Craft & Design Foundation, le musée des Arts décoratifs présente, du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016, l’exposition Korea Now ! Craft, design, mode et graphisme en Corée. Cet événement majeur et inédit réunissant plus de 700 pièces de 150 artistes, artisans, designers, créateurs de mode et graphistes, dans la quasi-totalité des espaces temporaires de l’institution, invite le public français à découvrir l’éclectisme des styles, des goûts et des créations qui donnent tout son éclat contemporain à ce formidable patrimoine artistique encore peu connu en Europe. Séoul, cette mégapole qui intrigue et fascine, est aujourd’hui non seulement un terrain de rencontre mais avant tout le lieu d’une effervescence créative, suivie de près par la scène internationale dans le design comme dans la mode.

Vous pouvez lire la suite sur le site du Musée des Arts Décoratifs.

Korea Now
du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016
au Musée des Arts Décoratifs de Paris


Dans le cadre de la manifestation organisée sous l’égide de l’Année France-Corée, présidée par Henri Loyrette et réalisée en partenariat avec la KCDF – Korea Craft & Design Foundation, le musée des Arts décoratifs présente, du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016, l’exposition Korea Now ! Craft, design, mode et graphisme en Corée. Cet événement majeur et inédit réunissant plus de 700 pièces de 150 artistes, artisans, designers, créateurs de mode et graphistes, dans la quasi-totalité des espaces temporaires de l’institution, invite le public français à découvrir l’éclectisme des styles, des goûts et des créations qui donnent tout son éclat contemporain à ce formidable patrimoine artistique encore peu connu en Europe. Séoul, cette mégapole qui intrigue et fascine, est aujourd’hui non seulement un terrain de rencontre mais avant tout le lieu d’une effervescence créative, suivie de près par la scène internationale dans le design comme dans la mode.

Vous pouvez lire la suite sur le site du Musée des Arts Décoratifs.

Kim Dong-won

Dans le cadre de l’année France-Corée qui célèbre le 130ème anniversaire de la signature du traité d’amitié et de commerce entre les deux pays, le Labex Arts H2H accueille un musicien-compositeur sud-coréen, KIM Dong-won durant le mois d’octobre 2015.  Co-porteur du projet de la MSHPN, “Le croisement des imaginaires : création contemporaine du spectacle vivant en Corée & réception en France de la scène coréenne”, je suis heureuse de vous inviter au “concert-improvisation franco-coréen” avec quatre musiciens dont Kim Dong-won.

– lieu: La Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord
– date: Mardi 27 octobre
– heure: 18h

Ce concert est gratuit.

Pour plus d’informations, cliquez ici.

Lee Hyun-joo (Université Paris 8)

Kim Dong-won

Dans le cadre de l’année France-Corée qui célèbre le 130ème anniversaire de la signature du traité d’amitié et de commerce entre les deux pays, le Labex Arts H2H accueille un musicien-compositeur sud-coréen, KIM Dong-won durant le mois d’octobre 2015.  Co-porteur du projet de la MSHPN, “Le croisement des imaginaires : création contemporaine du spectacle vivant en Corée & réception en France de la scène coréenne”, je suis heureuse de vous inviter au “concert-improvisation franco-coréen” avec quatre musiciens dont Kim Dong-won.

– lieu: La Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord
– date: Mardi 27 octobre
– heure: 18h

Ce concert est gratuit.

Pour plus d’informations, cliquez ici.

Lee Hyun-joo (Université Paris 8)

Un bilan très positif

Le 5e Congrès Asie et Pacifique 2015 s’est tenu à l’Inalco les 9, 10 et 11 septembre dernier. Ses trois objectifs principaux ont été atteints.

Il se voulait ouvert à l’ensemble de la communauté : il a rassemblé près de 500 intervenants, répartis dans 150 ateliers thématiques. En tout, avec le public, 800 personnes y ont participé. Il devait avoir un rayonnement international et attirer des chercheurs étrangers. L’internationalisation des recherches françaises est l’un des deux axes de travail prioritaires du GIS. Dans cette objectif, le programme incluait 8 conférences plénières de personnalités scientifiques étrangères invitées. Résultat : quelques 130 chercheurs étrangers ont fréquenté le colloque, avec notamment une vingtaine de sessions d’ateliers en anglais. Enfin, le congrès devait laisser une large part aux doctorants et post-doctorants. Les actions en faveur des jeunes chercheurs constituent l’autre axe de travail prioritaire du GIS. Grâce à une diffusion ciblée et des tarifs attractifs, le congrès a accueilli près de 200 intervenants doctorants ou jeunes docteurs. Dans le public, les jeunes chercheurs étaient encore plus nombreux, puisqu’ils constituaient plus de 60 % des effectifs.

Fort de ce succès, le GIS envisage d’organiser la prochaine édition en 2017, cette fois-ci à une échelle européenne.

A lire :
Interview de Jean-François Huchet, directeur adjoint du GIS Asie, par Anne Garrigue (www.lepetitjournal.com/singapour) mercredi 16 septembre 2015

Source : Lettre d’octobre 2015 de Réseau Asie & Pacifique

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Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS