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Séminaire pluridisciplinaire d’études coréennes

Centre Corée de l’EHESS et UMR 8173 Chine, Corée, Japon

 

Sauf précision, les séances se tiennent habituellement de 14h à 16h dans les salons du 1er étage de la Maison de l’Asie, 22 avenue du Président Wilson, 75116 Paris (M° Iéna ou Trocadéro).

 

 

17 avril 2015

10h : Protestant Megachurches and Contentious Religious Politics in Seoul
14h : Queer Activism and Postsecular Geopolitics in South Korea

Résumé

Queer activism in Korea has in recent decades become more visible and public in their articulation of non-normative gender and sexual identity and assertion of dissident political subjectivity. There are also intensified and more institutionalized forms of religious homophobia today in the political sphere, as can be seen in the rise of the largely Christian-led opposition against queer rights and anti-discrimination policies. Drawing from ongoing research on the transnational infrastructure of Korean/American Christianity and the contentious cultural politics of racial and sexual difference, I will focus on the December 2014 controversy over the ill-fated Seoul Charter of Human Rights that resulted in queer activists and allies occupying the Seoul City Hall for six days in protest. Rather than interpret the political spectacle simply as a contestation between (secular) queer dissidents and (religious) homophobia, I suggest a postsecular geopolitical frame to highlight the contested place of religion in politics and the significance of Christian-identified queer activists and religious allies. Particularly instructive is the figure of “chongbukgei”—literally a homosexual subservient to North Korea—a new epithet used by homophobic activists in South Korea to conjure Cold War-era anticommunism in conflating sexual perversion with political subversion.

 

Source : Centre de recherches sur la Corée

The Center for Buddhist Studies of National Taiwan University will hold the “ 2015 International Conference of East Asian Buddhist Thought and Culture ” from October 16 to 18, 2015. The conference will include three-day seminars and a one-day tour. As foreign scholars are expected to arrive in Taiwan October 15 and stay till October 20, they are welcome to enjoy the landing hospitality provided by the organizers. However, please be reminded that you will be responsible for your own transportation flight costs.

The Conference Preparatory Committee is very pleased to invite you to join this conference.

If you are interested in applying to be a presenter, please submit a 400-500 word abstract to Chen Ping-kun at chenpingkun@ntu.edu.tw for review by April 20, 2015 .

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Pour cette deuxième édition du colloque international, le Centre d’Etudes Coréennes (CEC) a choisi le thème « Dynamiques Sud-Coréennes » avec comme sous titres l’économie, l’éducation et la société.

Du début des années 70 à celui des années 2000, la Corée du Sud a construit – avec une incontestable réussite – son développement sur un faisceau de dynamiques fortes, impliquant certes l’État, et de manière très visible les divers acteurs économiques, éducatifs, mais aussi la société tout entière, malgré un contexte difficile à l’issue de la guerre de Corée (25 juin 1950- 27 juillet 1953).

Tous les facteurs dynamiques actuellement porteurs de réflexions, de questionnements, d’interrogations publiques, ou encore d’infléchissements, voire de révisions des politiques jusqu’alors privilégiées pourront être mis en débat, de manière peut-être à (re-) dessiner le paysage économique, éducatif, culturel et social de la Corée du Sud.

Un des enjeux de ce colloque est de saisir la réalité et l’impact des changements, de voir s’ils témoignent de limites du « modèle » coréen, d’un passage à une phase plus réflexive/autoréflexive de sa réalisation, ou encore d’un ensemble de réorientations ouvrant sur de nouvelles dynamiques porteuses. Cette dernière hypothèse, si elle se vérifie, dévoilant au moins une constante dans l’histoire récente de la Corée : sa capacité à s’adapter, à se remettre en cause collectivement pour mieux rebondir, bref, à réagir selon une dynamique positive.

 

Pour en savoir plus et vous inscrire, cliquez ici.

The Max-Planck Institute for the Study of Religious and Ethnic Diversity, Department of Religious Diversity in Göttingen is offering

 

1. Postdoctoral Fellowships

For two years at the Department of Religious Diversity at the MPI fitting one of the programs outlined on the website:

http://www.mmg.mpg.de/departments/religious-diversity/

Preference will be given to candidates working on Asia, but other proposals will be considered.

Requirements:

Ph.D. in Social/Cultural Anthropology, Religious Studies, Sociology or Political Science.

Please send your applications including a c.v. and a list of publications and a writing sample before May 1, 2015, to vdvOffice@mmg.mpg.de

 

Among the research themes:

Urban aspirations in Seoul: Religion and megacities in comparative studies (2012-2017)

 

    Projects

 

2. One-year Postdoctoral Writing Grants

Scholars whose research relates to the substantive concerns of the department’s research program and whose PhDs have been submitted by 1 May 2015 are eligible to apply. The fellowship is intended to provide the basis for developing a new research project or writing the PhD thesis into publications. The fellowship holders are expected to take part in the academic life of the institute.
Fellowships will begin on 1 September or 1 October 2015.

The deadline for electronic (one file please) or postal applications is 1 May 2015. Applications should include a cover letter, CV, a list of publications, a research/writing plan for the period of the fellowship.
Please also send an electronic copy of the PhD-thesis or sample chapters.
These will of course be treated confidentially.

The Max Planck Society wishes to increase the participation of women wherever they are underrepresented; therefore, applications from women are particularly welcome.

Following its commitment to an equal opportunities employment policy, the Max Planck Society also especially encourages persons with a disability to submit their applications.

For further information please contact Professor Peter van der Veer, Director of the Department, at vdvOffice@mmg.mpg.de

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Collection « Étude Imasie-Pacifique »
Créée en 2011, la collection « Études Imasie-Pacifique » chez CNRS Éditions a pour vocation de publier des thèses, études, journées, tables rondes et recueils d’articles des chercheurs et membres du Réseau Asie et Pacifique (CNRS) et du Groupement d’intérêt scientifique Études asiatiques (GIS Asie).

La collection s’inscrit dans la catégorie de livres « Alpha » de CNRS Éditions : les livres sont imprimés à la demande, ce qui est particulièrement adaptée à la diffusion de travaux de recherche.

Le secrétariat d’édition de la collection est assuré par le Réseau Asie et Pacifique (mise en page, relecture des épreuves, échanges avec l’éditeur). Le coût de l’impression des ouvrages, de 2000 € en moyenne, est à la charge du ou des auteurs, avec la possibilité d’une participation du GIS Asie à hauteur de 500 €. Cela permet l’impression d’une cinquantaine d’ouvrages d’un manuscrit de 700 000 signes.

Les titres de la collection peuvent être commandés par les acheteurs en se rendant sur le site de l’éditeur – www.cnrseditions.fr -, sur les sites marchands de livres ou chez tout libraire.

 

Objet et politique éditoriale
La collection « Études Imasie-Pacifique » a pour objet la diffusion des travaux des chercheurs sur l’Asie et le Pacifique en sciences humaines et sociales (SHS) en France et en Europe.

Dans un premier temps, elle a accueilli des monographies, journées, tables rondes, recueils d’articles et résultats d’ANR de spécialistes confirmés. Ces travaux ont émané principalement de membres du Réseau Asie et Pacifique.

Dans le second temps, qui s’est ouvert avec la création du GIS Asie, la collection s’est élargie aux membres du GIS Asie, mais également aux jeunes chercheurs et spécialistes sur l’Asie et le Pacifique en SHS.

 

Appel à manuscrits
La collection « Études Imasie et Pacifique » lance un appel à manuscrits.

Afin de répondre au mieux aux exigences de la politique éditoriale de la collection, la direction de la collection s’est entourée d’un comité de spécialistes internes et externes au GIS Asie qui contribuent à approvisionner la collection en projets de publication et évaluent des manuscrits qui relèvent de leurs compétences spécifiques. Les manuscrits sont lus de manière anonyme.

Une préférence est accordée aux ouvrages dont la nature et la portée présentent un fort caractère novateur. L’apport de chercheurs dont la thèse s’est vu décerner un encouragement à la publication dans le rapport de soutenance est pris en grande considération.

Il n’y a pas de date limite, les propositions envoyées au fur et à mesure seront examinées régulièrement.

Les soumissions doivent comprendre un descriptif de trois pages, le texte du manuscrit dans son intégralité et sous sa forme considérée comme définitive par son ou ses auteurs, un curriculum vitae pour chaque auteur et l’indication, sommaire, du projet de financement de l’impression de l’ouvrage. Elles seront envoyées par voie électronique à Christophe Sabouret (christophe.sabouret@cnrs.fr).

Une réponse accusera réception de la soumission. Environ trois mois plus tard, une seconde réponse fera part de la décision, favorable ou défavorable, de la direction de la collection.

 

 Appel à manuscrits

Le professeur Jean-Paul Barbiche (honoraire, Université du Havre) vous propose de présenter vos travaux de recherche, publications, colloques, conférences sur des thématiques asiatiques dans l’émission qu’il anime sur fréquence protestante (100.7 à Paris) : “Enjeux et destinées”, qui traite de sujets de géopolitique et de société.

Vous pouvez le contacter par mail sur barbiche.famille@wanadoo.fr en lui communiquant vos propres coordonnées.

Présentation de M. Barbiche et archives de l’émission.

Littératures et censures en Asie

Appel à contribution pour Impressions d’Extrême-Orient 6

 

En ce moment-même, en République populaire de Chine, la pression sur les artistes et la censure étatique se fait de plus en plus sentir ; ailleurs, la police des lettres applique sa loi selon des modalités et une brutalité variables ; dans d’autres pays d’Asie, une liberté d’expression sans contrainte apparente semble s’être enfin installée : il nous a dès lors semblé intéressant de jeter un regard sur un phénomène ― la censure ―, qui a marqué, et marque toujours, l’immense espace asiatique depuis qu’on y écrit.

La multiplicité des expériences et des situations suscite une naturelle curiosité que le sixième numéro de la revue en ligne Impressions d’Extrême-Orient a l’ambition, non pas d’assouvir, mais d’alimenter en proposant des regards sur le sort fait à la littérature dans les différents pays qui font partie de son champ d’investigation ― Chine, Taiwan, Japon, Inde, Vietnam, Corée, Thaïlande ―, voire au-delà.

On explorera à travers des textes, de natures diverses et de toutes les époques, la censure sous tous les angles selon lesquels elle s’est manifestée, et la manière dont elle continue de s’appliquer dans l’espace littéraire asiatique. Aucune restriction ne sera appliquée au choix des textes que nous publierons, sinon, le respect des lois en vigueur dans notre pays, la nécessité d’avoir été traduits avec respect, présentés de manière pertinente, et d’illustrer un aspect du thème : littératures et censures en Asie.

Le thème pourra être envisagé selon différentes perspectives : celle du contrôle étatique, des tabous religieux, des impératifs du marché, voire même des cabales littéraires ou des proscriptions relatives aux mœurs ; on pourra également évoquer à travers des exemples, des procès littéraires, le poids du jugement critique, et pourquoi pas explorer la censure sous l’angle psychologique ; on pourra même montrer le rôle dynamique opéré sur la création littéraire par la censure, ou encore, se pencher sur la manière dont les traducteurs s’y confrontent et dialoguent avec elle.

On pourra donc proposer la traduction de textes, ou d’extraits d’œuvres, qui ont subi à une époque la censure dans leur pays d’origine ou qui la subissent encore, des textes qui jouent avec elle, en contournent les dictats ; on pourra aussi proposer des textes où se manifeste l’auto-censure, voire qui montrent comment certains auteurs offrent des œuvres à géométrie variable selon les lieux de publication, ou entourent leurs œuvres d’un méta-discours censé les mettre à l’abri, ― ou même des œuvres dans lesquelles les auteurs, qu’ils soient poètes, romanciers, dramaturges, critiques ou prosateurs, explorent les marges de l’expression littéraire, voire les dépassent.

Chacun est donc appelé à, selon la nécessité, sortir de l’index des ouvrages scandaleux ou faire émerger des productions circulant sous le manteau, ou encore à donner une visibilité accrue à des œuvres diffusées sur la Toile, etc.

Cette attention portée au sujet de la censure selon toutes ses manifestations, attention que l’on souhaite la plus riche et la plus ouverte possible, offrira des armes pour envisager le problème dans une optique encore plus vaste ― des événements récents ont montré que les problèmes de liberté d’expression pouvaient facilement mobiliser ceux qui, dans des espaces plus protégés, craignent de devoir la perdre un jour, et combien ceux qui en sont privés seraient heureux d’en profiter : souhaitons que le fruit de notre observation ne tombe jamais sous le coup d’une censure, ou pire d’une auto-censure, et se déploie dans une liberté que rien ne viendra brider.

Nous attendons des textes littéraires traduits, précédés d’une courte présentation donnant des informations sur l’œuvre, son auteur et les raisons qui ont conduit à le retenir.

Dans l’idéal, le texte sera inédit en traduction ; si ce n’est pas le cas, le traducteur devra justifier de la nécessité d’une nouvelle traduction. Pour les textes contemporains, le traducteur s’assurera au préalable de détenir l’autorisation de l’auteur pour la publication en ligne d’une traduction de son œuvre.

Le texte retenu sera soit un texte intégral (essai courte nouvelle, conte, récit, poésie), soit un extrait d’une œuvre plus ample (un chapitre de roman, par exemple) : la traduction n’excédera pas 20 feuillets de 1500 signes. Le traducteur fournira sa traduction sur un support informatique (Word [.doc] avec une copie en format .pdf) portant le minimum d’enrichissement stylistique ; avec les notes de bas de page, ainsi que le texte original en format .pdf (voir les recommandations aux auteurs : http://ideo.revues.org/203) ; celui-ci sera communiqué aux experts chargés d’évaluer la traduction et également mis à disposition des lecteurs de la revue. Le traducteur est libre dans le choix de l’appareil critique qui accompagnera son travail.

Il peut également proposer des documents annexes dont il détiendra, le cas échéant, les droits de reproductions (les fournir au format .jpeg)

Date limite de réception des propositions : 31 décembre 2015

Mise en ligne du numéro : juin 2016

Contacts :

Pierre Kaser  : pierre.kaser@univ-amu.fr

 

Source : ChinElectrodoc

venerable

 

Rencontre avec le Vénérable Hyangjeok, ancien Président de l’Assemblée de l’Ordre Jogye. A l’occasion de la parution de son livre « L’Eveil n’a pas de frontière, de Haeinsa à la Pierre-Qui-Vire ».

 

Le 11 avril 2015 à 15h30 : Rencontre aux Missions étrangères de Paris (128 rue du Bac 75007 Paris)
Pour en savoir plus, cliquez ici.

 

Le 12 avril à 11h : Culte bouddhique au Temple Kilsangsa à Torcy (32 rue du Petit Bois 77200 Torcy)

 

Le 17 avril 2015 à 18h30 : Rencontre au Centre culturel coréen (2 avenue d’Iéna 75116 Paris)

Pour en savoir plus, cliquez ici.

 

Article du journal La Croix sur le Vénérable Hyangjôk.

 

 

 

Actuellement en résidence de recherches à l’International Institute for Asian Studies, Valérie Gelézeau a donné le 17 mars 2015 à Leyde, dans le cadre des IIAS lunch lectures mensuelles, une conférence intitulée :

« Songdo (South Korea), a mega-project in the making : residential neighborhoods of an urban utopia »

 

Résumé de la conférence

Near Seoul, a new city emerges on a vast reclaimed zone from the sea: Songdo, a mega-urban project that is to house about 200 000 inhabitants by 2020. In the globalized competition of large metropolises, this new “International City” is part of the South Korean public policies that try to promote the Seoul capital region as a major hub in North East Asia. The development of Songdo also derives from the opening to foreign investments that followed the financial crisis of 1998 and is at the core of so-called “IFEZ” (Incheon Free Economic Zone). In the programmatic or analytic discourse of planners and developers, Songdo appears as an urban utopia of the 21st century, combining digital technologies (“U-City”, “smart city”) and sustainable development (“green city”). Today, over 70 000 people already settled in – and live between construction sites, brand new skyscrapers, or a public space often referring to foreign locations (the “Central Park”).

What does it mean to live in such a city in the making? To what extent do the inhabitants contribute to its building or are they simply passive receptacles of top-down policies?

This lecture exposed the preliminary findings of a research aiming at analyzing the process of place construction in a mega-project typical of Asian contemporary urban development. Anchored in a geographical perspective and grounded on ethnographic research, it focused on residential neighborhoods where the planning of housing and public facilities meets the actual practices of the pioneering residents of the new city. The planned city features three key aspects of contemporary urban development: it is a “smart city” (where architecture and space articulates the pervasive use of the computer in the society); it is a “green city” combining a well-groomed parks and green public spaces, but also the ideology of sustainable development (low carbon, recycling, low energy buildings, etc.); and it is an “international city” based on international business and R&D activities connected with higher education (foreign universities). While these features situate the planning discourse on Songdo within the paradigm of the urban utopia, all carry a certain reality in residents’ life. But the ongoing process of permanent construction creates other unexpected spaces intermediate land waiting for development or construction (they are used as recreational space or vegetable gardens), while citizen’s association try to negotiate the priorities of development.

 

Source : Carnets du Centre Corée

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Les ateliers des doctorants ont lieu le deuxième mardi du mois, à partir de 17h, dans la salle 681 au 190, Avenue de France. Pensés pour être un lieu de discussion sur les recherches en cours et les expériences du terrain des étudiants, ils s’adressent à tous les étudiants de l’UMR, mais aussi aux autres collègues qui souhaiteraient y assister; pour informations: Alain Arrault, arrault.alain@yahoo.com; Michela Bussotti, michela.bussotti@efeo.net; Katiana Le Mentec, katianalementec@yahoo.fr

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Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS