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Les PICS

Le Projet International de Coopération Scientifique (PICS) est un projet scientifique établi et présenté conjointement par deux équipes de recherche, l’une au CNRS et l’autre à l’étranger. D’une durée de 3 ans non renouvelable, il vise à consolider et formaliser une coopération suivie avec un partenaire étranger ayant déjà donné lieu à une ou plusieurs publications communes. Un PICS permet à l’équipe d’un laboratoire affilié au CNRS (UPR/UMR) de recevoir des crédits complémentaires (généralement, entre 5 000 et 7 000 € par an) pour le financement de missions, d’organisation de séminaires et de réunions de travail.
Les PICS sont destinés en priorité aux chercheurs de moins de 45 ans.

Comment soumettre un projet ?

La procédure de dépôt de PICS se fait en une seule étape.
Une lettre d’engagement scientifique et financier du partenaire étranger est nécessaire.

Consulter le Formulaire CoopIntEer pour connaître les modalités de dépôt et déposer un PICS.

Date d’ouverture de la campagne : 15 avril 2015
Date de clôture de la campagne : 2 juin 2015
Date de communication des résultats : janvier 2016

Les PICS concernent tous les pays.

Dans le cas où un accord existe entre le CNRS et l’organisme d’appartenance du partenaire, le projet est à adresser en même temps à cet organisme. Consulter la liste des organismes.

En parallèle des PICS, le CNRS organise également des appels conjoints, prévoyant dépôt conjoint et sélection conjointe, avec certaines institutions partenaires. Consulter le calendrier des appels à projets de recherche conjoints

Procédure de suivi d’un PICS

Pendant les 3 années de durée du PICS : Envoi à la DERCI et à l’Institut du CNRS du bilan scientifique et financier annuel établi par les coordonnateurs. La fourniture de ces bilans conditionne l’octroi des crédits pour l’année suivante.

Contacts PICS :

 

http://www.cnrs.fr/derci/spip.php?article51

 

Dix emplois de chercheurs post-doctorants sont ouverts à l’EHESS à compter du 1er septembre 2015 pour une durée d’un an.
Ces emplois concernent les différents domaines des sciences humaines et sociales.
Ils sont proposés aux jeunes chercheurs ayant soutenu entre le 01 janvier 2012 et le 07 avril 2015, une thèse de doctorat dans un autre établissement que l’EHESS, en France ou à l’étranger.
Les candidats ne doivent jamais avoir été bénéficiaires d’un contrat de travail géré par l’EHESS.
Dans le cadre d’un partenariat avec le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), une candidature sélectionnée s’inscrivant dans le champ d’activité de cet établissement (les dynamiques des sociétés contemporaines du bassin méditerranéen) pourra être soumise au MuCEM pour un co-financement éventuel et une intégration du candidat au département recherche et enseignement du MuCEM.
Chaque candidat indiquera (jusqu’à 3 maximum) le(s) laboratoire(s) ou centre(s) de recherche de l’EHESS (ou auquel l’EHESS est associée) au sein desquels il souhaiterait être accueilli pour y inscrire son projet de recherche dans l’un des programmes d’activités du laboratoire/centre.
(la liste des centres est consultable sur le site de l’EHESS : http://www.ehess.fr/fr/recherche/centres/
La sélection favorisera les dossiers comportant une forte dimension interdisciplinaire, une ouverture internationale et une capacité de dialogue avec plusieurs laboratoires ou domaines de l’EHESS. CANDIDATER

Pour candidater, les candidats doivent impérativement remplir le formulaire en ligne  du mardi 7 avril 2015 à midi jusqu’au lundi 11 mai 2015 midi et y insérer les documents suivants au format pdf:

  • un curriculum vitae avec la liste des publications
  • la copie du diplôme de doctorat ou attestation faisant foi
  • le rapport de soutenance de la thèse de doctorat le cas échéant
  • une lettre de candidature, adressée à l’attention du président de l’EHESS
  • le(s) nom(s) du/des laboratoire(s) ou centre(s) de recherche de l’EHESS
  • un projet de recherche et d’activités post-doctorales maximum(en cinq pages maximum) rédigé dans le cadre d’une année et s’insérant précisément dans le programme du/des laboratoire(s) ou centre(s) de recherche de l’EHESS ou lié(s) à l’EHESS, à Paris, Marseille, Toulouse ou Lyon

La rédaction du projet de recherche et d’activités post-doctorales en anglais est autorisée. Toutefois, un bon niveau de compréhension et d’expression orale en français est requis.

Les candidatures se font uniquement en ligne et devront être validées en cliquant sur le bouton du formulaire « Candidater », à partir du mardi 07 avril 2015 midi et au plus tard le lundi 11 mai 2015 à midi (heure locale de Paris)

Une confirmation de réception du formulaire, sous réserve de recevabilité de la candidature à un emploi de post-doctorant à l’EHESS, sera envoyée automatiquement par mail à l’adresse email inscrite dans le formulaire par le candidat.
Les formulaires reçus en ligne passé ce délai, incomplets ou non conformes ne pourront être pris en considération.

Les résultats seront disponibles à partir du mercredi 10 juin 2015 sur le site de l’EHESS – rubrique “Recrutements/chercheurs”

Pour toute information complémentaire, merci de nous contacter, exclusivement par mail, à l’adresse: bureau-contractuels@ehess.fr

Belle initiative de la part du Nordic Institute of Asian Studies (NIAS), que d’avoir créé une revue en ligne dédiée aux jeunes chercheurs. De fait, Asia in Focus, dont le premier numéro est accessible gratuitement en ligne, entend consacrer ses pages aux articles d’étudiants de master et de doctorat dont les jeunes recherches portent sur l’Asie. Non seulement cette revue est en libre accès, assurant une large diffusion aux productions des auteurs, mais le comité éditorial les accompagne également tout au long du processus de validation, afin d’offrir aux jeunes auteurs de précieux conseils et retours généralement absents des publications académiques traditionnelles.

Le premier numéro, disponible à cette adresse, vous transportera à travers toute l’Asie, depuis les politiques familiales au Japon jusqu’à l’exode rural au Bangladesh, en passant par l’opposition populaire en Chine ou la servitude pour dette au Népal.  Profitez-en pour faire un tour sur AsiaPortal, le portail de NIAS dédié aux actualités scientifiques et aux ressources sur l’Asie, merveilleux outil pour se tenir au courant de l’actualité de la recherche dans les pays scandinaves!

 

Par Soline Lau-Suchet

 

Source : Le Carreau de la Bulac

Ce texte reprend la conférence d’ouverture prononcée par Valérie Gelézeau le 5 juin 2014, lors du colloque « Aspects et tendances de la culture coréenne contemporaine » organisé par l’Université de Nantes. Ce texte est accessible en version intégrale sur HAL-SHS (halshs-01140555)

 

Comment dire « Corée » de manière neutre, sans se situer d’emblée au Sud (Han’guk, Pukhan) ou au Nord (Chosŏn, Namchosŏn) ? La langue elle-même dit la frontière, toujours en construction, qui divise la péninsule coréenne en deux États (la République de Corée Taehanmin’guk, et la République Populaire Démocratique de Corée Chosŏn minjujuŭi inmin konghwaguk).

Partant de cette constatation, et à partir de mes travaux sur la frontière, j’essaie de montrer dans ce texte que la partition est bien plus qu’un fait géopolitique survenu en 1945. En effet, la frontière spatiale est non seulement un processus toujours en construction, mais elle a suscité l’émergence de frontières sociales multiples et de territorialités nouvelles (Nord et Sud, péninsule et région asiatique, diaspora) redéfinissant profondément l’aire culturelle Corée. La division a surtout conditionné les perspectives d’approches des études sur la Corée : la pensée sur cet ensemble aujourd’hui difficile à définir, et qu’on ne peut pas désigner simplement en langue coréenne, est une pensée de la division – une schizo-coréanologie. Je conclus sur le fait que le moment est venu pour les études coréennes en France de dépasser une forme de schizo-coréanologie pour mieux rendre compte de ce qu’est « la Corée » pour les sciences sociales.

 

Source : Carnets du Centre Corée

Chères traductrices et chers traducteurs, chers amis de la traduction littéraire,

Le parcours professionnel d’un traducteur littéraire est rarement conventionnel. Les chemins les plus divers conduisent à ce métier en tension entre artisanat linguistique et création littéraire. L’Association ATLAS, qui possède une  riche expérience en matière de formation continue et de soutien à la traduction littéraire, organise au Collège International des Traducteurs Littéraires (CITL, Arles) des ateliers de professionnalisation. La  Fabrique des traducteurs existe depuis 2010 et nous avons réalisé depuis 17 ateliers dans une douzaine de langues.

Prochainement aura lieu le premier atelier français//coréen. Il  se déroulera du mardi 1er septembre au mercredi 11 novembre 2015. Il aura lieu grâce au soutien financier du KLTI (Korean Literature Translation Institute), de l’Institut Français, du Ministère de la Culture français (DGLFLF), de la SOFIA,  et de nos partenaires territoriaux (conseil régional PACA, Ville d’Arles, CG13).

Les traducteurs et traductrices concernés (en début de carrière) sont invités à déposer leur candidature jusqu’au 14 juin 2015.

Les candidats à ce programme seront porteurs d’un projet personnel de traduction : ils devront choisir un projet pour lequel les droits sont libres, mais il n’est pas obligatoire d’être muni d’un contrat d’édition. C’est sur la pertinence de ce projet et sur des critères qualitatifs de traduction que seront choisis les participants.

Chaque participant-e recevra une bourse  de 2500 euros. Le voyage est pris en charge par le programme.

Pour chaque atelier, 3 traducteurs traduisant du coréen vers le français travaillent avec 3 traduisant dans l’autre sens. Les participants bénéficient d’un triple tutorat :

  • Un tutorat “vertical” : grâce à la présence conjointe de trois traducteurs expérimentés traduisant dans les deux sens, qui encadrent les travaux. 3 trinômes de traducteurs-tuteurs se relaient dans l’accompagnement des projets.
  • Un tutorat “horizontal” : Les traducteurs débutants travaillent aussi en binôme. Chacun bénéficie ainsi de la compétence  d’un locuteur naturel, ce qui est un enrichissement mutuel décisif.
  • Une intégration professionnelle dans les milieux éditoriaux : des rencontres avec des professionnels du livre sont organisées pour chaque atelier : auteurs, éditeurs, directeurs de collection, associations de traducteurs, responsables de revues, opérateurs institutionnels…

Les textes traduits au cours de l’atelier feront l’objet de deux lectures publiques. Ces présentations sont précédées d’un travail de mise en voix, encadré par un professionnel de la scène. Une anthologie bilingue présentant des extraits de ces textes est publiée.

La clôture de l’appel à candidature étant fixée au lundi 15 juin 2015, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir relayer l’information autour de vous le plus rapidement possible. Ce programme représente une véritable chance pour les jeunes traducteurs, il est donc important que l’information parvienne aux intéressés. L’appel à candidature est en ligne sur notre site et sur notre blog : www.atlas-citl.org

Nous vous remercions de l’attention que vous accorderez à ce courrier et de la suite que vous lui donnerez. Pour toute question et information complémentaire et/ou pour adresser les dossiers, merci de contacter Caroline Roussel : caroline.roussel@atlas-citl.org

Nous attendons les candidatures avec impatience et les espérons nombreuses.
Avec mes meilleures salutations,

Jörn Cambreleng, CITL, Arles

Une histoire ethno-linguistique ancienne de l’archipel japonais : de la période Jōmon à Ise monogatari

 

Conférence de Alexander VOVIN, Directeur d’études au Centre de recherches linguistiques sur l’Asie orientale (CRLAO/EHESS) dans le cadre du séminaire interdisciplinaire du Centre de recherches sur le Japon de l’EHESS (UMR 8173).

 

Vous trouverez le résumé ci-dessous. Au plaisir de vous accueillir nombreux.

Dans ma conférence, j’adresserai les problèmes suivants :
1) Les langues et peuples indigènes avant l’arrivée de la culture Yayoi et la langue proto-japonique dans l’archipel japonais.
2) Le rôle et la distribution de la langue Aïnou dans l’archipel japonais.
3) La ‘coréanisation’ de la langue japonaise ancienne centrale aux 5-8e siècles. A savoir, l’influence profonde du coréen sur le japonais ancienne.
4) La migration des langues de Ryukyu japoniques dans les îles Ryukyu. D’où et quand ? Quelles sont les langues et les peuples qui ont été remplacés par les langues de Ryukyu japoniques ?
5) La migration des Aïnou dans Hokkaidō et le problème de l’identité ethnolinguistique des cultures Satsumon et Okhotsk.

 

Jeudi 7 mai 2015 de 11h00 à 13h00

EHESS, Salle 2, 105 boulevard Raspail 75006 Paris

Conférence _Jeudi 7 mai 2015

Colloque
Société Asiatique – Institut des civilisations du Collège de France
Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie orientale (CNRS-UMR8155) et unité Proche-Orient – Caucase (CNRS-UMR7192)
 
La guerre dans les civilisations de l’Orient et de l’Extrême-Orient
 18 et 19 mai 2015
Collège de France – Salle Claude Levi-Strauss
52 rue du Cardinal Lemoine, 75005 Paris
(accès par la rue Jacques-Henri Lartigue)
 

La guerre dans les civilisations de l’Orient et de l’Extrême-Orient, colloque organisé par la Société Asiatique, l’Institut des Civilisations du Collège de France, le Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie orientale (CNRS-UMR8155) et l’unité Proche-Orient – Caucase (CNRS-UMR7192)
 

Le colloque, comme chaque année, a pour objectif de réunir des spécialistes de l’Orient et de l’Extrême-Orient afin de leur donner une occasion de dialoguer et de présenter à un public élargi leurs travaux autour d’un thème commun et fédérateur.
 
En cette période de centenaire du premier conflit mondial, il a paru pertinent de s’intéresser cette année à la guerre dans les civilisations orientales et extrême-orientales. Toutes les disciplines ont leur place dans le colloque, ainsi la guerre est-elle être envisagée aussi bien d’un point de vue intellectuel ou artistique , que sur les plans politique, pratique ou encore linguistique , pour ne citer que quelques thèmes parmi d’autres. 

Lundi 18 mai 2015
 
9h35 : Accueil par Jean-Pierre Mahé, Président de la Société asiatique
 
9h40 : Sophie Méry : « La guerre dans l’Arabie Néolithique »
10h20 : Juan Carlos Moreno García : « La guerre en Égypte à la fin du IIIe millénaire avant notre ère »
 
11h-11h20 : Pause
11h20 : Matthieu Richelle  : « Le conflit fratricide entre Edom et Juda au vie s. av. n.è., de la bataille de terrain à la guerre littéraire »
12h00 : Mathieu Terrier : « Le jihâd en islam shi’ite ou le combat sacré des vaincus de l’histoire »
 
12h40-14h20 : Pause déjeuner
14h20 : Alain Servantie : « Les raisons et signes par lesquels l’on peut comprendre que les Turcs sont enclins plutôt à faire paix que guerre (1545) »
15h00 : Nicolas Morelle : « La fortification avancée de Vijayanagara à Torgal (1555-1570) : une réponse indienne face à la nouvelle artillerie des sultans ? »
 
15h40-16h00 : Pause
16h00 : Romain Lefebvre : « Le système militaire de Xi Xia (1038-1227) : présentation de la structure hiérarchique et des documents officiels »
16h40 : Philippe Ménard : « La guerre en Mongolie et en Chine au xiiie siècle d’après un missionnaire et un voyageur »
17h20 : Laurent Quisefit : « L’art militaire mongol au xiiie siècle : guerre guerréante, guérilla et pastoralisme nomade »
Mardi 19 mai 2015
 
9h40 : Masumi Sunaba-Sevrin : « “Hiroshima” et les questions personnelles : une étude comparative des Notes sur Hiroshima de Kensaburô Oe et Hiroshima mon amour de Marguerite Duras »
10h20 : Brice Fauconnier : « Les “noms de la guerre” : vicissitudes et enjeux de la définition des conflits en Asie-Pacifique de 1931 à 1945 chez les intellectuels japonais »
 
11h00-11h20 : Pause
11h20: Constance Sereni : « Les kamikazes japonais : des fanatiques convaincus ? Une contestation privée et silencieuse »
12h00 : Christian Henriot, Zhang Peiyao : « Revisiter la bataille de  Shanghai de 1932 : Cartes d’état-major, histoire militaire et analyse spatiale »
 
12h40-14h20 : Pause déjeuner
14h20 : Habib Tawa : « Da’wa, Jihad, Takiyya et Takfir chez les Frères musulmans, selon l’œuvre de Tharwat al Khirbawy, ancien cadre supérieur de cette organisation »
15h00 : Odile Moreau : « “La guerre de dix ans” : L’Empire ottoman dans la Première Guerre mondiale »
 
15h40-16h00 : Pause
16h00 : Rémy Hémez : « La guerre du Vietnam : un discret évènement clé de l’histoire de la Corée du sud »
16h40 : François Guillemot : « De la “guerre du peuple” à la “guerre civile révolutionnaire” : Essai de polémologie vietnamienne »
17h20 : Deborah Klimburg-Salter : « Bamiyan : d’un symbole de paix à un emblème de guerre »
 

Enseignant-chercheur associé à mi-temps FLASH

La Faculté des Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines de l’Université de La Rochelle recrute pour son département LEA, un enseignant-chercheur associé à mi-temps spécialiste de la géopolitique et/ou des relations internationales de la zone Asie/Pacifique, à compter du 1er septembre 2015.

Le candidat devra justifier depuis au moins trois ans d’une activité professionnelle principale, autre que d’enseignement, et d’une expérience professionnelle en rapport avec la spécialité enseignée (un lien avec les formations LEA serait un plus).
Si le candidat est un agent public, il devra solliciter et obtenir une autorisation de cumul de son autorité hiérarchique.

Profil de poste :
Le candidat sera doté d’une bonne vision d’ensemble des métiers des échanges internationaux, du tourisme, de l’import/export, de la gestion et du management d’entreprises, de la traduction, des relations internationales suite à des expériences réussies à des postes de responsabilité dans ces secteurs.
Il sera capable d’enseigner à des étudiants de Licence et Master LEA des cours de géopolitique de l’Asie et de relations internationales.
Le réseau professionnel du candidat sera pris en compte, en termes d’apport pour la FLASH : stages, offres d’emplois, conférenciers.
Enfin, une appétence et une aptitude pour la recherche sera appréciée, dans la perspective d’une collaboration à des publications.
Contact pour les questions d’enseignement et de recherche :

M. Waterman David, directeur du département LEA / david.waterman@univ-lr.fr

Les dossiers devront être adressés à recrutement_ens@univ-lr.fr avant le 30 avril minuit. Le dossier de candidature devra comprendre les documents suivants :

une lettre de motivation
un CV détaillé
la déclaration de candidature en fichier joint

Dossier_de_candidature

une pièce d’identité (CNI ou passeport)
une copie de la carte vitale
une copie du diplôme le plus élevé en rapport avec l’emploi
Toutes pièces justifiant de votre activité professionnelle principale (si salarié : fiches de paye du mois de décembre des trois dernières années et copie du contrat de travail) (si professions libérales ou chefs d’entreprises : relevé de cotisations URSSAF ; copie de bilan ou compte de résultat ; inscription ordre professionnel).

Deux postes d’enseignants de coréen sont à pourvoir à l’université de la Rochelle :
Enseignant contractuel en coréen

L’Université de La Rochelle recrute un enseignant contractuel de coréen pour l’UFR Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines. Il s’agit d’ un contrat à durée déterminée d’un an susceptible d’être renouvelé deux fois. Le poste est à pourvoir au 1er septembre 2015.

Les candidats doivent être titulaires d’un Master. L’obligation de service est de 450 heures TD (indice de rémunération : 2ème échelon de professeur certifié Indice brut 423).

L’Unité de Formation et de Recherche de Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (FLASH) de l’Université de La Rochelle cherche à recruter un(e) enseignant(e) contractuel(le) en coréen. Ce poste s’adresse à un(e) candidat(e) ayant une spécialité cohérente avec le Département de Langues Étrangères Appliquées (LEA). Une très bonne maîtrise du coréen standard et du français est exigée. Une bonne maîtrise de l’anglais sera appréciée.

L’enseignant(e) recruté(e) sur ce poste sera en charge de cours de langue et civilisation coréennes dispensés aux étudiants de la licence LEA anglais-coréen et aux étudiants des Masters LEA (spécialité Langue, Culture, Affaires Internationales et spécialité Economie et Commerce International). Les cours de langue et civilisation coréennes à assurer pourront couvrir les niveaux de grand débutant (niveau 1) à niveau avancé (niveau 5).

Une prise en charge de cours de coréen « langue découverte » destiné aux étudiants des autres licences LEA Asie-Pacifique pourra éventuellement être demandée.

Pour toutes questions sur l’enseignement, vous êtes invités à vous adresser à monsieur David WATERMAN, 1, Parvis Fernand Braudel (FLASH), 17042, LA ROCHELLE CEDEX 1. david.waterman@univ-lr.fr

Si vous êtes intéressé par ce poste, vous êtes prié d’adresser uniquement par courrier électronique votre dossier à recrutement_ens@univ-lr.fr.

Ce dossier (en version PDF) sera constitué d’une lettre de motivation, d’un CV complet et d’une copie de votre diplôme (traduit en français impérativement).

Le dossier devra être transmis pour le 22 mai minuit dernier délai.

 

Maître de langue étrangère

L’université recrute :

un maître de langue étrangère en coréen

Les candidats doivent justifier d’un titre ou d’un diplôme français ou étranger d’un niveau équivalent à celui du diplôme national de master (décret n°2003-310 du 11 avril 2013 publié au journal officiel 0087 du 13 avril 2013).
La langue étrangère au titre de laquelle les candidats se présentent doit être leur langue maternelle ou une autre langue qu’ils pratiquent à l’égal de leur langue maternelle.
L’Université de La Rochelle recrute un maître de langue de coréen et un maître de langue d’indonésien pour l’UFR Faculté de Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (FLASH).

 

Maître de langues étrangères en coréen :

Le poste sera rattaché au Département de Langues Étrangères Appliquées. Ce poste s’adresse à un(e) candidat(e) ayant une spécialité cohérente avec le Département de Langues Étrangères Appliquées (LEA). Le/la candidat(e) devrait avoir une spécialisation dans un domaine de recherches concernant la langue et la civilisation coréennes. Une très bonne maîtrise du coréen standard et du français est exigée. Une bonne maîtrise de l’anglais et le diplôme de doctorat ou inscrit en doctorat seront appréciés.

L’enseignant(e) recruté(e) sur ce poste sera en charge de cours de langue et civilisation coréennes dispensés aux étudiants de la licence LEA anglais-coréen et aux étudiants des Masters LEA (spécialité Langue, Culture, Affaires Internationales et spécialité Economie et Commerce International). Les cours de langue et civilisation coréennes à assurer pourront couvrir les niveaux grand débutant (niveau 1) à niveau avancé (niveau 5).

Une prise en charge de cours de coréen « langue découverte » destiné aux étudiants des autres licences LEA Asie-Pacifique pourra éventuellement être demandée.

Pour tout renseignement sur les fonctions, vous êtes invités à contacter monsieur David WATERMAN david.waterman@univ-lr.fr

Rémunération indice brut 482.
Les dossiers AU FORMAT PDF seront constitués d’une lettre de motivation, d’un CV et de la copie du diplôme requis (traduit en français impérativement). Ils devront être transmis à l’adresse suivante [recrutement_ens@univ-lr.fr] avant le 22 mai 2015.

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS