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Pierre-Emmanuel ROUX, La Croix, la baleine et le canon, La France face à la Corée au milieu du XIXe siècle, Les éditions du Cerf, 2012, 462 pages.

 

Présentation de l’éditeur  :

 

« Pays du matin calme et royaume ermite » : voilà à quoi se résument bien souvent nos représentations mentales de la Corée. De tels clichés furent néanmoins forgés au cours du XIXe siècle pour désigner le Chosŏn, un vieux royaume pluricentenaire qui refusait apparemment tout contact avec les puissances occidentales, à commencer par la France.

 

Il faut dire que nos missionnaires y prêchaient clandestinement l’Évangile, que nos marins y pourchassaient les cétacés aux abords des côtes, tandis que nos consuls et officiers de marine tentaient d’apporter aux uns et aux autres secours et protection, s’imaginant même y établir une colonie ou un protectorat.

 

Les représentants de Paris agissaient-ils toutefois par simple devoir ou par humanisme envers leurs compatriotes ? Rien n’est moins sûr. Car si la Corée de ce temps-là passait pour un territoire pauvre et enclavé où réduction en esclavage et exécution sommaire guettaient naufragés et missionnaires, sa situation géographique l’élevait précisément au statut de carrefour stratégique, attisant par là même l’intérêt de ses voisins immédiats, ainsi que de toute puissance désirant s’affirmer sur la scène extrême-orientale.

 

Fondé sur des sources pour la plupart méconnues sinon inédites, cet ouvrage éclaire d’un jour nouveau l’histoire des relations internationales et de l’expansion du catholicisme en Asie à cette époque charnière que fut le milieu du XIXe siècle, balayant ainsi l’idée longtemps acceptée d’un simple choc de civilisations entre l’Occident, chrétien et impérialiste, et l’Extrême-Orient, confucéen et refermé sur lui-même. Ce faisant, l’auteur apporte un regard neuf sur l’actualité des relations franco-coréennes au XXIe siècle.

 

Pierre-Emmanuel Roux achève actuellement une thèse de doctorat à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). Ses recherches portent sur l’histoire du catholicisme et des interactions culturelles en Asie orientale aux XVIIIe et XIXe siècles. Il est également chargé de cours à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO), section Corée.

 

 

Utque proeliorum periti rectores primo catervas densas opponunt et fortes, deinde leves armaturas, post iaculatores ultimasque subsidiales acies, si fors adegerit, iuvaturas, ita praepositis urbanae familiae suspensae digerentibus sollicite, quos insignes faciunt virgae dexteris aptatae velut tessera data castrensi iuxta vehiculi frontem omne textrinum incedit: huic atratum coquinae iungitur ministerium, dein totum promiscue servitium cum otiosis plebeiis de vicinitate coniunctis: postrema multitudo spadonum a senibus in pueros desinens, obluridi distortaque lineamentorum conpage deformes, ut quaqua incesserit quisquam cernens mutilorum hominum agmina detestetur memoriam Samiramidis reginae illius veteris, quae teneros mares castravit omnium prima velut vim iniectans naturae, eandemque ab instituto cursu retorquens, quae inter ipsa oriundi crepundia per primigenios seminis fontes tacita quodam modo lege vias propagandae posteritatis ostendit.

Préambule. L’unique exemplaire qui existe d’un manuel coréen de la langue japonaise, vraisemblablement publié en 1748 et conservé à la BULAC, a reçu une visite éclairante en mars 2012. Mademoiselle Yi Sŏnhǔi, doctorante à l’Université de Tokyo, s’est rendue à Paris pour l’examiner. Après une semaine d’investigation minutieuse, elle présume qu’il s’agit d’un exemplaire destiné à la conservation à la Cour et qu’une étude plus approfondie permettrait d’avancer une nouvelle explication réconciliant deux théories opposées jusqu’à présent : l’une, japonaise, selon laquelle l’ouvrage était une production xylographique ; l’autre, coréenne, selon laquelle il a été imprimé avec des caractères métalliques mobiles. L’expert compte revenir à Paris pour poursuivre son enquête… En attendant, contentons-nous d’un compte rendu de sa visite qu’elle nous a envoyé dès son retour.

KIM Daeyeol, INALCO

 

捷解新語』에 대하여

일본 동경대학교 박사과정 이선희

『첩해신어』는 조선왕조시대에 일본과의 외교와 무역에 종사하는 역관(譯官)을 양성하기 위하여 사역원(司譯院)에서 편찬한 일본어 학습서이다. 원저자는 강우성(康遇聖 1581년~?)으로, 임진왜란 때(1592년, 당시 12살) 왜군에게 포로로 잡혀가 오사카 부근에서 살게 되면서 일본어를 익히게 되었다. 그 후 1601년 제1차 포로송환 때 조선으로 돌아와, 1609년에 譯科 倭學 시험에 합격해 역관으로 일하게 된다. 첩해신어는 그가 역관으로 일하면서 얻은 체험을 바탕으로 역관들이 실제 업무에서 바로 사용할 수 있도록 내용이 전개되어 있고, 회화체라는 점에서도 의의가 크다. 원간본은 전 10권으로, 1권부터 4권까지는 일본선의 부산도착에서부터 사신접대, 통상무역에 관한 내용이고, 5권부터 8권까지는 조선통신사의 일본 방문, 9권의 전반부는 사적인 담화내용, 후반부는 일본의 지명, 10권은 서간문으로 되어 있다.

1676년에 간행된 첩해신어 원간활자본 (현존 4종, 복각목판본 1종)은, 수십 년에 걸쳐 내용이 추가되면서 필사본(筆寫本)으로 전해 내려오던 것을 금속활자로 간행한 것이다. 그 후 일본어에 많은 변화가 생기면서 원간본은 무용지물이 되었고, 1748년에 제1차 개수본(이하 개수본, 목판본, 현존 1종)이, 1762년에는 제2차 개수본(이하 중간본, 목판본, 현존 다수)이 간행되었다.

 

이날코 도서관* 소장본은 개수본으로, 1987년 安田章(야스다 아키라)의 주도로 일본 교토대학에서 영인본으로 출판되기 전까지는 중간본으로 알려져 있었다. 이 개수본은 다른 간본과는 달리 유일본이고, 간행시기도 원간본과 중간본 사이에 위치하기 때문에, 한국어와 일본어학사에 관한 연구는 물론, 서지학적으로도 매우 귀중한 자료이다. 한국에서는 1991년에 鄭光과 安田章가 공동으로 영인본을 간행하였고, 그 후 원간본과 개수본, 중간본의 비교연구가 활기를 띠게 되었다. 그러나 개수본의 서지에 대해서는 실지조사가 이루어지지 않아 지금까지 베일에 싸여 있었다.

 

이번 실지조사로 확인한 내용 중 가장 주목을 끄는 것은 전 권, 전 장에 걸쳐 행해진 세밀한 덧칠작업이다. 원간 활자본에서는 수정을 요하는 글자에 한해서 오려내거나 덧칠하는 등 여러 가지 방법으로 수정이 이루어진 데 반해, 개수본에서는 내용과 상관없이 거의 모든 글자와 판심의 어미에 이르기까지 덧칠작업이 행해져 있다. 덧칠에는 붓이 아닌 뾰족한 서양식 펜이 사용된 것으로 보이며, 중간 중간 보이는 먹색깔이 옅은 장에서는, 덧칠한 부분이 드러나지 않도록 펜의 색깔도 옅은 색으로 맞추고 있어서 자세히 보지 않으면 알아차리기 힘들다. 개수본은 사용된 종이와 보존상태 등으로 보아 조선왕실에서 보관했던 것으로 추정되며, 이날코 도서관의 로랑 끼스피 선생님의 조언처럼 1900년 파리만국박람회와 관련이 있는 것으로 생각된다. 모리스 꾸랑의 저서 『Bibliographie Coréenne』(이희재 번역본 『한국서지』1994년, p.765)를 보면 「지난 해 프랑스에 도착한 도서 중에 한국 인쇄사에 대한 가장 흥미있는 것들은 조선관에서의 만국박람회에 모습을 나타냈던 것들로, 이 일련의 도서들이 거의 전부, 그리고 그 이외의 것들이 박람회를 전후하여 동양어학교에 기증되었으며」라는 대목이 나온다. 만박에 전시되었던 책이라는 사실만으로도 그 역사적인 의미가 큰 만큼, 앞으로 이날코 도서관*의 조선간본을 종합적으로 세밀하게 조사해볼 필요가 있다고 생각된다.

 

* N.B. : La bibliothèque que l’auteur indique par « 이날코 도서관 » est la BULAC. Tout comme l’ancienne BIULO, la nouvelle BULAC est également appelée ainsi en Corée.

Korean Studies Workshop on Contemporary & Modern Korea

27th June 2012 – Paris, France 9h-17h

Université Paris Diderot – Paris 7 (PRES Sorbonne Paris Cité)

Bâtiment des Grands Moulins (building) – UFR LCAO : aile C (C hall), 4ème étage (4th floor), salle ( room)  479 C –

Entrance : 5 rue Thomas Mann or 16 rue Marguerite Duras or 10 EsplanadeVidal-Naquet (75013, Paris)

 

09:00 – Welcoming participants to the workshop : Marie-Orange RIVE-LASAN, Université Paris Diderot (UPD)

09:15-10:30 : Studies about North Korea : Chair : Valérie GELEZEAU, EHESS, Center for Korean Studies (France)

EU-North Korea Relations : Ass. Prof. Youngmi KIM, Central Europe University (Hungary) / EUKOPAC

An Arab Spring in Pyongyang? : Dr. Antonio FIORI, University of Bologna (Italy) /EUKOPAC

Research on industries and cities in North Korea : Prof. Rainer DORMELS, University of Vienna (Austria) /EUKOPAC

10:30-10:45 : coffee break

10:45 – 12:30 : Researches on Korean Diaspora : Chair : Evelyne CHEREL-RIQUIER, Université de La Rochelle

Korean Diaspora in Central Asia : Prof. Matteo FUMAGALLI, Central Europe University (Hungary)

Korean Diaspora in China : Dr. Outi LOUVA, University of Turku, Research Fellow /Adjunct professor for East Asian Studies, University of Helsinki (Finland)

The Two Koreas among the Korean diaspora in Post-Soviet Kazakhstan : Eunsil YIM, Ph. D Candidate, Research associate of LAIOS (EHESS) and of the Center for Korean Studies, UMR 8173 EHESS-CNRS-UPD Paris 7 (France)

Building of the Group Identity “Woman Married to a Foreigner” in South Korean Society: from its Emergence to the Creation of the World Federation of KIMWA (1945-2006): Dr. Kyungmi KIM, EHESS, Research associate of the Center for Korean Studies, UMR 8173 (France)

12:30-14:00 : lunch break

14:00 – 15:45 : Studies about South Korea : Chair : Youngmi KIM, Central Europe University

South Korean Catholic Holy places development : Ass. Prof. Evelyne CHEREL-RIQUIER, Université de La Rochelle / member of theCenter for Korean Studies, UMR 8173 EHESS-CNRS-UPD / EUKOPAC (France)

Political Opportunism and church growth strategies in South Korea : Dr. Huiyeon KIM, PhD, EHESS, Research associate of the Center for KoreanStudies, UMR 8173, ATER, Université Paris-Diderot (France)

Imperial Legacies and the Polarisation of Politics in South Korea, Dr. Kevin GRAY, Senior Lecturer in International Relations in the Department of International Relations, University of Sussex (UK) /EUKOPAC

South Korean intelligence services as political actor : transformation since 1987 : Ass. Prof. Marie-Orange RIVE-LASAN, Université Paris Diderot – Paris 7 / EUKOPAC / member of the Center for Korean Studies, UMR 8173 EHESS-CNRS- UPD (France)

15:45-16h00 : coffee break

16:00-17:00 : Focus on Korean Art : Chair : Yannick BRUNETON, Université Paris Diderot

Searching for the identification of the Korean “Lonely Saint” : Dr. Beatrix MECSI PhD, Eotvos Lorand University- ELTE (Budapest, Hungary)

Remembering the ancestors: The ritual shrine paintings of Chosŏn Korea : Dr. Ariane PERRIN, Ph.D., Research associate of the Center for Korean Studies, UMR 8173 EHESS-CNRS-UPD Paris 7 (France)


Compte-rendu de la table ronde à la mémoire de JaHyun Kim Haboush

 

La table ronde organisée le 23 mars 2012 à Paris par le Centre de Recherches sur la Corée à la mémoire de JaHyun Kim Haboush (1941-2010), titulaire de la chaire « King Sejong » à l’université Columbia à New York, a réuni des anciens collègues qui ont évoqué sa vie et quelques souvenirs personnels. Une table ronde qui n’était pas, déclara Alain Delissen (EHESS) en préambule, une journée académique destinée à dresser le bilan scientifique d’une œuvre.

Etaient présents : Boudewijn Walraven de l’université de Leiden, Martina Deuchler de la SOAS, ou encore Daniel Bouchez du CNRS, qui ont rappelé la contribution majeure de JaHyun Kim Haboush à l’étude de l’histoire sociale de la période Chosŏn (1392-1910), notamment la période charnière des XVIe et XVIIe siècles. Ils ont rappelé qu’elle était en train de préparer un ouvrage sur les invasions japonaises et mandchoues de la fin du XVIe siècle. Le manuscrit inachevé est actuellement repris par deux collègues américains en vue de publication.

Dans une présentation «  De l’espace et des paysages aux corps mémoriels », Valérie Gelézeau (EHESS) a évoqué deux textes de Mme Kim Haboush tirés d’une série de quatre conférences sur ces invasions données au Centre Corée en 2008.[1] Ils soulignent combien la spatialité des corps liée au genre, surtout du corps féminin, fonctionne comme une métaphore de l’espace national. Les corps dégradés symbolisent le corps politique et la nation détruite.

Isabelle Sancho (CNRS-EHESS), sinologue de formation comme la défunte, a regretté son « rendez-vous manqué » avec JaHyun Kim Haboush, avec qui elle avait, durant son séjour à Harvard, espéré travailler. Mme Kim Haboush, dit-elle, a permis de remettre en cause bien des idées toutes faites sur l’histoire de la période Chosŏn, en particulier sur le confucianisme et la question du genre. Historienne, elle avait aussi le souci constant de théoriser et de marier des sources et des concepts tirés de divers champs disciplinaires des sciences sociales qu’elle présentait dans une belle langue anglaise.

Kim Daeyeol (INALCO) présente l’ouvrage, The Confucian Kingship in Korea (2001), dont il souligne, lui aussi, la qualité d’écriture. Mme Kim Haboush articule avec talent vie privée et vie publique, en évoquant, non pas la monarchie comme telle, mais un homme, un monarque, le Roi-sage, Yŏngjo (1694-1776), qui eut à faire face à la disparition tragique de son fils.

Dans « Les questions de genre », Florence Galmiche (EHESS) évoque l’importance accordée par les travaux de JaHyun Kim Haboush à la question des émotions et à leurs différentes places et statuts dans la société du Chŏson (notamment quand elles présentent un écart avec les normes). Elle souligne l’influence que peuvent exercer la démarche et les angles d’approches de JaHyun Kim Haboush pour les recherches en anthropologie portant sur la Corée contemporaine.

Ont été évoqués ensuite, dans la dernière partie de la journée, des souvenirs plus personnels : son goût pour le p’ansori, son intérêt pour la céramique, coréenne et vietnamienne, ou encore ses goûts littéraires. Martina Deuchler a rappelé trente années d’amitié et de collaboration depuis 1981, lors de la première conférence en études coréennes, et leurs débats sur le confucianisme et la condition des femmes. JaHyun Kim Haboush avait, selon elle, une vision ambivalente du confucianisme et s’intéressait principalement à la culture des élites urbaines. Elle était très intéressée par le discours de la Nation qui avait émergé en Corée lors de cette crise à la jonction du XVIe et XVIIe siècle. Boudewijn Walraven a rappelé que JaHyun Kim Haboush fut parmi les premiers à établir des ponts entre les chercheurs coréens et occidentaux dès 1981. Il a annoncé qu’un projet de traduction avec Kenneth Robinson et l’université Columbia était en cours.

Des pistes de recherche future ont été proposées, telle qu’une « étude sur l’histoire culturelle des larmes et des pleurs », suggérée par Alain Delissen. La table-ronde s’est achevée par des questions de l’auditoire sur l’idée de Nation, ou encore sur le mouvement sirhak, et par un pot de clôture.

Vous pouvez trouver ici le programme de la table ronde.


[1] « Dead bodies in the postwar discourse of identity in 17th Korea », Journal of Asian Studies, May 2003, vol. 62, pp. 415-422; “Dreamland. Korean Dreamscapes as an Alternative Confucian Space”, in Helwig Schmidt-Glintzer (ed.), Das andere China. Wiesbaden: Harrassowitz Verlag, pp. 659-670.

Trois emplois d’Attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER) à mi-temps ouverts à l’EHESS à compter du 1er septembre 2012

 http://www.ehess.fr/fr/ecole/recrutements/detail/3-emplois-dattaches-temporaires-denseignement-et-de-recherche-ater-a-mi-temps-ouverts-a-lehe/

 

  • 1 emploi d’ATER à mi-temps en Asie méridionale et orientale (fiche de poste : cliquez ici)

  • 2 emplois d’ATER à mi-temps en Anthropologie (fiche de poste : cliquez ici)

Les candidatures se font uniquement en ligne et devront être validées en cliquant sur le bouton du formulaire « Candidater », au plus tard le vendredi 25 mai 2012 à minuit (GMT + 1h Paris)

Les formulaires reçus en ligne : passé ce délai, incomplets ou non conformes ne pourront être pris en considération.

Les candidats doivent remplir le formulaire en ligne :

Formulaire de candidature :

Cliquez ici

et y insérer les documents suivants :

  1. un curriculum vitæ incluant la liste des publications ;
  2. le rapport de soutenance de la thèse de doctorat ou, dans le cas d’une thèse en cours, le résumé et l’état d’avancement de la thèse (2 pages maximum) ainsi qu’une lettre du directeur ;
  3. une lettre de motivation, adressée au Président de l’EHESS, précisant l’emploi pour lequel il est fait acte de candidature, exposant un programme de recherche et faisant état des champs de compétences méthodologiques et pédagogiques du candidat (5 pages maximum) ;
  4. important : un résumé (sur un feuillet recto/verso) précisant, au recto : les principaux éléments du CV (avec les publications significatives), au verso : les grands traits du projet).

NB : Le contrat, jusqu’au 31/08/2013, pourra éventuellement être renouvelé.

Les résultats seront disponibles sur le site de l’EHESS, rubrique :

L’École » Recrutements >> “Autres recrutements (ATER, maîtres de langues, post-doctorants)” : www.ehess.fr/fr/ecole/recrutements/

 

A titre d’information, les candidats peuvent se reporter aux conditions d’ordre général concernant les emplois d’ATER :

– Devenir ATER (pages de la direction de la Recherche du Ministère délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche):
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid23097/devenir-attache-temporaire-enseignement-recherche-r.html

– Décret 88-654 du 7 mai 1988 relatif au recrutement des ATER:
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/personnel/enssup/nontit//88-654.pdf

Pour tous renseignements complémentaires, veuillez contacter, exclusivement par mail :

Madame Geneviève Tamiatto : ecole.doc(at)ehess.fr

 

SOURCE : Centre de recherches sur la Corée, UMR 8173 “Chine, Corée, Japon” CNRS-EHESS

 

 

Nous vous vous informons que le recrutement des candidatures d’attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER) à l’université Paris Diderot – Paris 7 est ouvert sur le site :

 

http://insater.sc.univ-paris-diderot.fr/

jusqu’au 30 avril 2012 à 23h00, heure de Paris.

Avis de recrutement à l’Inalco

 

J’attire votre attention sur le nouveau poste à l’Inalco :

 

http://www.inalco.fr/IMG/pdf/MCF503_4017_coreen.pdf

 

http://www.inalco.fr/IMG/pdf/Calendrier-operations_concours-2012.pdf

 

JEONG Eun-Jin

Responsable de la section de coréen

INALCO

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS