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Par décret du Premier ministre pris sur la proposition de la ministre de l’Education nationale, Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, M. Jine-Mieung LI est nommé au grade de chevalier dans l’ordre des Palmes académiques.

M. Li est Professeur émérite à l’Université Jean Moulin – Lyon 3, Directeur de recherche (extérieur) pour les études coréennes à l’Ecole Doctorale 131 / UFR LCAO, Université Paris Diderot – Paris 7, et Président de l’AFELACC (Association Française des Enseignants de Langue et Culture Coréennes). Sa nomination a été annoncée par la lettre de Mme la Ministre de l’Education nationale en date du 1er janvier 2015.

 

 

Séminaire pluridisciplinaire d’études coréennes

Centre Corée de l’EHESS et UMR 8173 Chine, Corée, Japon

 

Sauf précision, les séances se tiennent habituellement de 14h à 16h dans les salons du 1er étage de la Maison de l’Asie, 22 avenue du Président Wilson, 75116 Paris (M° Iéna ou Trocadéro).

 

 

23 janvier 2015

Grace Koh (University of London, SOAS)

Aesthetic Conceptions of ‘Life’ and ‘Nature’ in Koryŏ Literary Discourse

 

Source : Centre de recherches sur la Corée

 

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Exposition | Amour et érotisme en Asie

Les fonds méconnus de la Maison de l’Asie

à partir du 8 janvier 2015 | 9h – 18h
Salle de lecture de la Maison de l’Asie – 22 avenue du Président Wilson 75116 Paris

Cette année, la Bibliothèque de la Maison de l’Asie vous propose un voyage amoureux et érotique à travers une sélection d’ouvrages tirés de nos collections.

Au-delà du Kama Sutra, célèbre traité dédié au plaisir des sens et au désir mais aussi aux relations entre hommes et femmes et à la vie urbaine ; au-delà également de l’érotisme japonais bien connu du « monde flottant » d’Edo, nous vous invitons à un vagabondage savant au fil de cette thématique.

En effet, l’Asie du Sud-Est, la Chine ou la Corée ont, elles aussi, leurs propres récits amoureux, leurs traditions érotiques et coutumes conjugales. L’Asie musulmane a décliné la fameuse histoire d’amour d’origine arabe « Layla et Majnoun » de l’ourdou au malais et possède ses propres épopées romantiques comme celles de Hir Ranjha au Pendjab tandis que nombre des grands récits nationaux des pays d’Asie du Sud-Est continentale sont des romans d’amour malheureux comme le Tum Teav au Cambodge et le Kim Vân Kiêu au Vietnam.

L’amour et ses obstacles inspirent les auteurs asiatiques jusqu’à aujourd’hui et restent une source inépuisable de scénarios alimentant les productions cinématographiques de Bollywood à Séoul, en passant par Hong Kong. Enfin l’Asie, pourtant réputée conservatrice, a su, tout au long de son histoire, faire sa place à la sexualité, y compris à certaines pratiques restées tabou en Occident jusqu’à une époque récente : l’Inde par exemple a toujours reconnu le troisième sexe et su intégrer dans la société, même sous le règne des Moghols, ceux que l’on appelle les hijras.

Nous vous souhaitons un agréable feuilletage de nos volumes, en compagnie de Kama, Aizen Myo-o…

Avec la participation de l’EFEO, du CASE, du CDAT, du CEIAS et du CRC

Documents sélectionnés du CRC

  • Peintures érotiques de Corée / Maurice Coyaud et Li Jin-Mieung, 1995
  • Le cinéma coréen / An Pyǒnsǔp, Adriano Aprà Chǒng Chaehyǒng… [et al.], 1993
  • Histoires de Kisaeng: T2. La fleur de lotus et la fleur de poirier / Kim Dong Hwa, 2009
  • L’Iidiot 1 / Kang Full, 2007
  • Korean Film Directors – “Lee Chang-dong” / Kim Young-jin, 2007
  • Korean Film Directors – “HONG Sangsoo” / Heo Moon-young, 2007
  • Korean Film Directors – ” Im Kwon-taek” / Chung Sung-ill, 2007
  • Prenant des fleurs : histoire de la vie des courtisanes à l’époque de la colonisation japonaise 꽃을 잡고 : 파란만장한 일제강점기 기생인물 생활사 / Hyôgyu Sin, 신현규, 2005
  • Le temps de l’amour : la culture et la mode du déut des annés 20 (en Corée) / Podûae Kwôn 연애의 시대 : 1920 년대 초반의 문화와 유행 / 권보드래,2003
  • Manhwa sentimental (1) / Kang Full 순정만화 (1) / 강풀, 2004
  • Histoire de Pang Hallim : Mariage homosexeuel à l’éoque de Chosôn / Sigwang Chang, Idam 방한림전 : 조선시대동성혼이야기(원전으로 읽는 우리고전1), 2006

1 Salle 1

 

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Célébration des Années croisées France/Corée
CORÉE MANIA
UNE SAISON CORÉENNE À SÈVRES
21 janvier – 6 septembre 2015
ROMAN D’UN VOYAGEUR, du 21 janvier au 20 juillet 2015
YIK-YUNG KIM ET YEUN-KYUNG KIM, du 20 mai au 6 septembre 2015
Sèvres – Cité de la céramique
2 Place de la Manufacture
92310 Sèvres (France)
Tél. : +33(0)1 46 29 22 00

La Cité de la céramique célébrera en 2015 les Années croisées France-Corée, en organisant une exposition en deux volets, l’un patrimonial et l’autre résolument contemporain. L’événement bénéficie du soutien de la Cultural Heritage Administration de la République Coréenne.

 

Roman d’un voyageur s’articule, du 21 janvier au 20 juillet, autour de la figure emblématique de Victor Collin de Plancy (1853-1922). L’exposition invite à un double voyage : dans l’espace vers la péninsule coréenne, au coeur de l’Extrême-Orient, à la découverte d’une culture ancienne et raffinée, mais aussi une plongée dans le temps, vers le « royaume ermite » de la fin de l’époque Choson, à la fin du XIXe siècle, qui venait de s’ouvrir au monde.

Diplomate érudit à l’insatiable curiosité, Collin de Plancy fut le premier consul de France en Corée. Ses treize années de séjour dans le pays lui ont permis de collectionner de nombreux objets d’art et de les introduire en France. Il rassemble lors de son tout premier séjour, entre 1888 et 1891, quelque 260 pièces de céramique coréenne pour le Musée national de céramique de Sèvres et le Musée Guimet. Sur place, il a favorisé le travail d’autres diplomates, d’ethnographes, de photographes et de géographes. Le pays et son art de vivre sont évoqués dans l’exposition à travers des photographies, des peintures, du mobilier et un ensemble unique de céramiques exceptionnelles du 1er siècle de notre ère à nos jours, dont la grande jarre à décor de dragon du XVIIIe siècle, considérée comme un chef-d’oeuvre des collections nationales conservées par l’établissement. La plupart des céramiques exposées n’ont jamais été montrées au public.

 

Le volet contemporain, à partir du mois de mai, complète le propos de l’exposition patrimoniale, en mettant l’accent sur la créativité de deux artistes coréennes, dans les domaines de la céramique et du verre.

Grande dame de la céramique, Yik-Yung KIM (née en 1935 à Chongjin et travaillant à Séoul) est considérée comme une artiste majeure dans son pays, pour avoir fait le lien entre héritage culturel et création contemporaine dans le domaine de la porcelaine et du grès dans la tradition coréenne du Buncheong (engobe blanc sur des formes simples ornées des traces du pinceau et recouvertes d’un émail transparent et brillant révélé à la cuisson). L’exposition privilégiera les pièces de grands formats.

Quant au travail de sculptures en verre de Yeun-Kyung KIM (née en 1970 à Séoul, actuellement responsable de l’atelier verre à l’ENSAD de Strasbourg), il est désormais apprécié hors de nos frontières. Seront présentés ses travaux d’accumulation et de compression de verres à vitre des années 2000, ainsi qu’une récente installation sur tables de formes soufflées évoquant des outres ventrues noires ou transparentes. Sa recherche vise à mettre en évidence la capacité du matériau à évoquer l’eau et le passage du temps, son pouvoir de figer la fluidité et d’exprimer les émotions les plus intimes.

Parallèlement à ces deux temps forts, la plasticienne française Claire Roudenko-Bertin, actuellement en résidence au laboratoire de recherche appliquée de la Manufacture de Sèvres, investira la salle des collections asiatiques du Musée, avec une installation et une performance liées à sa quête du céladon et à sa fascination pour la culture coréenne.

 

 

Le Prix de thèse de l’Association française d’études chinoises (AFEC), attribué avec le soutien du Bureau de représentation de Taiwan en France, a été remis cette année à Stéphanie Homola, Pierre-Emmanuel Roux et Georges Favraud.

Actuellement post-doctorant à l’Université de la Ruhr à Bochum, en Allemagne, Pierre-Emmanuel Roux a soutenu l’an dernier une thèse menée sous la direction de Pierre-Etienne Will et portant sur la proscription du catholicisme en Chine, en Corée et au Japon du 17e au 19e s. Aux yeux de Pierre-Emmanuel Roux, la répression de cette religion dépasse l’idée d’un supposé choc culturel entre deux civilisations et est surtout le résultat de relations bien plus complexes entre la Chine, la Corée, le Japon, les missionnaires européens et leurs fidèles.

Lire la suite ici.

Source : Carnets du Centre Chine

 

Littérature Coréenne – Keulmadang n°31, décembre 2014

 

Littérature Coréenne – Le numéro 31 de la web-revue Keulmadang vient de paraître

 

Vous pouvez le consulter en ligne en cliquant ici.

 

 

La septième séance du séminaire BRICs des FMSH-EHESS recevra Jean-Raphaël Chaponnière et Marc Lautier pour une présentation à partir de leur livre :

Les économies émergentes d’Asie, entre État et Marché, Armand Colin, Collections U, 2014, 270 pages.

 

le jeudi 8 janvier 2015, à 18 heures

 

Salle 1, au Rdc de l ‘immeuble “France”, 190-198, avenue de France, 75013 Paris (métro: Quai de la Gare).

 

Pour en savoir plus, cliquez ici et là.

 

 

 

Source : Carnets de l’UMR 8173

 

 

« Habiter les utopies urbaines du XXIe siècle : deux méga-projets urbains euro-asiatiques en construction à Songdo (Corée du Sud) et Astana (Kazakhstan) », une conférence à deux voix du 25e FIG (Festival International de Géographie)

 

Par Valérie Gelézeau

 Maîtresse de conférences HDR à l’EHESS

Présentée avec Bernard Köppen (CESPS : Centre d’étude des populations, de la pauvreté et des politiques sociales) le 3 octobre 2014, cette conférence à deux voix proposait de comparer deux méga-projets de développement en construction en Asie : Songdo, nouvelle ville de la région de Séoul en Corée du Sud et Astana, capitale du Kazakhstan depuis 1987 (voir diapositive jointe). Comment naissent ces méga-projets urbains qui se multiplient en Asie ? Quel est leur rôle dans la construction des capitales d’Asie ? Inversement, quelle place occupe la référence aux grandes capitales du monde occidental dans ces méga-projets d’urbanisme ? En quoi sont-ils des formes d’utopie urbaine et quels en sont les modèles ? Enfin et surtout quelles sont les tensions entre un projet fonctionnel et de représentation (capitale) et, d’autre part, l’habitat et les infrastructures des nouveaux citadins ? Au fond, comment habite-t-on ces utopies urbaines en train de naître ? Telles sont les questions que nous avons tenté de discuter, de manière systématiquement comparative.  

La nouvelle ville de Songdo (Songdo kukche tosi) que j’analyse (deux terrains effectués en mars et août 2014) prend forme près de Séoul, entre et terre et mer, sur une zone de polders récemment gagnée de la baie du Kyŏnggi autour d’un centre d’affaires international. Promouvant un centre d’affaires international, ce méga-projet urbain censé accueillir à terme (2020) environ 200 000 habitants participe d’une stratégie nationale et internationale du gouvernement sud-coréen qui ambitionne de maintenir Séoul dans  le réseau des villes mondiales, voire d’y accroître son poids. Il s’inscrit dans la politique d’ouverture aux investissements étrangers qui a suivi la crise asiatique (1998) et a conduit la Corée du Sud à développer plusieurs zones franches (2003). Songdo est ainsi un des pôles de la zone franche internationale d’Incheon– le grand port de Séoul.

On retrouve à Astana, qu’étudie Bernard Köppen, une problématique liée à la capitalité : en effet, le transfert de la capitale kazakhe d’Almaty à Astana (Aqmola) en 1997 est inséparablement lié au lancement de ce projet d’urbanisme à grande échelle. À la différence d’autres exemples connus, comme ceux de Brasilia au Brésil, Canberra en Australie ou le rétablissement de Berlin comme capitale de l’Allemagne, la définition d’un plan de développement urbain visionnaire dans une logique de durabilité véritable confère à Astana une singularité propre : en témoigne l’approche prestigieuse fondée sur le paradigme de la ville « métabolique » (adaptable et évolutive) élaborée au départ par l’architecte de renom Kishio Kurokawa († 2007).

Moins singulière qu’utopie moderne, Songdo apparaît de son côté comme la ville emblématique du XXIe siècle : telle qu’elle est présentée par le consortium américano-sud-coréen chargé de son développement, et comme en témoigne la collection de termes qui la qualifient dans les projets, la ville allie la technologie de la ville digitale (« U-City » et « Smart City ») et l’idéologie du développement durable (« Green City ») – à cet égard, elle n’est pas sans rappeler d’autres projets à l’œuvre en Asie comme la Biopolis de Singapour.

À Astana, il est devenu rapidement évident que le paradigme d’une ville « métabolique » imaginée par Kishio Kurokawa au service des citadins allait mal s’accorder avec d’autres stratégies d’aménagement et de positionnement de la nouvelle capitale. L’analyse attentive par Bernard Köppen des mesures de planification réalisées démontre, que – malgré le choix de construire une ville durable et adaptable – la priorité a été presque uniquement donnée aux projets « classiques » faisant référence à l’aspect fonctionnel de la capitale, notamment pour les structures symboliques et monumentales. Par contre l’aspect habitat et infrastructure pour la « vie quotidienne » des citadins, qui avait une position privilégiée dans les plans aménageurs – s’est retrouvée finalement négligée durant la phase de réalisation des projets urbains.

A Songdo, plus de 70 000 habitants habitent déjà aujourd’hui la ville, entre zones à bâtir et terrains vagues, gratte-ciels géants rutilants et nouveaux espaces publics où le collage des références est explicite (« Central Park », projet de tours jumelles, canaux « vénitiens » et nouveau centre de congrès rappelant dans son architecture l’opéra de Sydney).

En confrontant les plans originaux et le discours des utopies à leur mise en œuvre concrète et aux pratiques d’habiter effectivement à l’œuvre dans ces deux villes, les deux intervenants ont d’une part soulevé la question de la grande banalité, finalement, des utopies urbaines dont Songdo et Astana sont représentatives et d’autre part, la question de l’existence de l’urbanisme pluriel qui s’invente explicitement (urbanisme « euro-asiatique » d’Astana) ou implicitement (collage post-moderne des références à Songdo) dans ces méga-projets d’Asie. Très animé par de nombreuses questions sur les deux cas, le débat avec la salle a fait ressortir les tensions entre un développement urbain déterminé par des fonctions de représentation (capitalité, compétition des villes mondiales) et les nécessités de construire un environnement et des infrastructures habitables au quotidien.

 

Vous pouvez télécharger ici la diapositive de présentation.

 

 

 

 

Dernières publications de l’Atelier Août-décembre 2014

Hélène Lebrun et Kim Won-il lauréats du prix Daesan

Hélène Lebrun a reçu le prix Daesan 2014 de la traduction pour le roman Hors les murs de Pak Wan-seo que nous avons publié en 2012. Kim Won-il, auteur de Crépuscules que nous publions ce mois-ci, a lui reçu le prix littéraire Daesan 2014 pour son oeuvre. Il se trouve que Crépuscules a aussi été traduit par Hélène Lebrun! 

            
Croisements n°4 août 2014

En librairie début janvier 2015

Déjà disponible sur notre site Web et à Séoul
Couverture "Les Saisons de Nami"            
Crépuscules – ces moments du jour qui meurt, d’une beauté à couper le souffle… C’est la fin d’une époque dans des éclats de pourpre aussi intenses que le sang répandu par les hommes sur la terre divisée de Corée, en ces années précédant la guerre (1950-53). C’est sous le signe de ces couleurs brûlantes comme la passion que commence ce récit, rapporté par un petit garçon dont le père, boucher et paria, est un homme violent qui donne tout à la cause communiste. L’enfance dans la misère d’un petit village n’est rien comparée au stigma d’être à la fois le fils d’un équarrisseur et d’un Rouge en Corée du Sud… À travers ce récit très autobiographique, Kim Won-il nous offre un document sans fards, un monument de la littérature engagée coréenne du XXe siècle.
Traduit du coréen par Hélène Lebrun.

A l’occasion des rives

Yves Millet
Novembre 2014
Cet essai regroupe un ensemble d’analyses se rapportant à différents pays d’Asie de l’Est. Dans un dialogue avec des philosophes tels que Gilles Deleuze, Gilbert Simondon ou John Dewey, l’auteur propose une lecture modale de l’expérience du sensible propre à des objets ou des usages se situant entre art et vie quotidienne ; cas de figure ou situations où rien n’opère plus aisément et où il devient nécessaire de patiemment reconstruire un regard pour goûter aux singularités esthétiques qui nous entourent.
Nouvelle vidéo
“Mises à nu coréennes” présenté par ses auteurs, Cathy Rapin et Rhee Kwang-bok, et ses traductrices.

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Mises à nu coréennes

Cathy Rapin et Rhee Kwang-bok
Tout a commencé par un geste, le poète observe le peintre qui dessine des nus coréens, d’un regard il engage le peintre à la rencontre et celui- là observe à son tour le jet de l’écriture que le poète projette sur le papier. Ces deux artistes, pendant plusieurs années, ont ainsi croisé leurs regards et épousé leurs gestes en laissant des traces sur la surface nue, se sont posés des questions sur leur production réciproque, au point où leurs réponses ont formé une danse à deux comme un tango argentin, danse de corps qui se mêlent mais se détachent toujours d’un geste passionnel. Aujourd’hui, ces dessins et poèmes sont face à face comme des danseurs ou des person- nages qui ont pris corps et voix, semblant faire leur monologue ou bien dia- loguant. Ce livre est donc pareil à un spectacle, un théâtre où des êtres tous venus du papier se dressent dans un espace mystérieux. Ce recueil contient 40 poèmes et dessins qui doivent rencontrer désormais un troisième regard, le vôtre spectateur-lecteur aux gestes aventureux.
  Octobre 2014
                        

Janvier 2015

De case en case
15 portraits pour comprendre le manhwa coréen !

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Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS