Actualités
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La 14e Conférence internationale sur l’histoire des sciences en Asie orientale (14th ICHSEA, Paris) se tiendra du 6 au 10 juillet 2015 à Paris.
Cette conférence est organisée par l’EHESS pour l’International Society for the History of East Asian Science, Technology and Medicine (ISHEASTM), avec le soutien du GIS Asie.
Cette année, elle a pour thème les sources, les contextes locaux et l’histoire globale. Les historiens des sciences explorent de plus en plus les implications des historiographies relatives à « l’histoire du monde», « histoire globale » et « histoires connectées » pour leurs disciplines. Parallèlement, les historiens cherchent à aborder l’histoire à différentes échelles et de manière polycentrique, au-delà des études « de l’Occident» qui dominent toujours l’histoire des sciences. Lecture attentive des sources asiatiques, prise en compte complète de la situation locale des objets dans le temps et l’espace : il est important de faire entendre l’expérience historique de l’Asie orientale, encore insuffisamment intégrée dans les débats sur les questions qui ont rapport avec la rédaction de l’histoire.
Site Web de la 14e Conférence internationale sur l’histoire des sciences en Asie orientale
Vous pouvez télécharger la liste des communications sur la Corée ici.
La 14e Conférence internationale sur l’histoire des sciences en Asie orientale (14th ICHSEA, Paris) se tiendra du 6 au 10 juillet 2015 à Paris.
Cette conférence est organisée par l’EHESS pour l’International Society for the History of East Asian Science, Technology and Medicine (ISHEASTM), avec le soutien du GIS Asie.
Cette année, elle a pour thème les sources, les contextes locaux et l’histoire globale. Les historiens des sciences explorent de plus en plus les implications des historiographies relatives à « l’histoire du monde», « histoire globale » et « histoires connectées » pour leurs disciplines. Parallèlement, les historiens cherchent à aborder l’histoire à différentes échelles et de manière polycentrique, au-delà des études « de l’Occident» qui dominent toujours l’histoire des sciences. Lecture attentive des sources asiatiques, prise en compte complète de la situation locale des objets dans le temps et l’espace : il est important de faire entendre l’expérience historique de l’Asie orientale, encore insuffisamment intégrée dans les débats sur les questions qui ont rapport avec la rédaction de l’histoire.
Site Web de la 14e Conférence internationale sur l’histoire des sciences en Asie orientale
Vous pouvez télécharger la liste des communications sur la Corée ici.
Appel à communications pour la Journée d’étude
Statuts et identités dans la société japonaise moderne (XVIIe-XIXe siècles)
Samedi 7 novembre 2015, Université Paris Diderot
Depuis les années 1990, les études interrogeant la société japonaise prémoderne à partir de la question des statuts, des métiers et des fonctions se sont multipliées[1]. Les études de cas ont mis en lumière des stratifications complexes des sociétés urbaines et villageoises, qui ne peuvent se résumer au schéma des quatre couches sociales du shi-nô-kô-shô (guerrier-paysan- artisan-marchand) ainsi que les liens de différents ordres (hiérarchique, vassalique, clientéliste, familial, …) qui retenaient entre elles les composantes constitutives des communautés. La présente journée se propose de poursuivre cette réflexion et de la compléter en introduisant dans le débat la dimension des identités (identité religieuse, identité villageoise ou citadine, identité nationale, identité de lettré, identité de médecin, identité de fonctionnaire, … ). La dimension identitaire permet en effet de comprendre des comportements ou discours adoptés par une frange de la population ou par des individus, les conduisant à aspirer à une autre vie ou une autre condition que celle que lui assigne la naissance ou la société. La journée se propose aussi de porter le regard sur les frontières du Japon, de considérer cette société dans ses interactions avec le monde extérieur ou de s’aider de la comparaison avec d’autres sociétés asiatiques ou d’autres périodes (XVIe siècle) pour mieux saisir ce qui la distingue.
Nous invitons les doctorants à faire des propositions sans hésiter.
Date limite pour les propositions de communications : 1er juillet 2015,
Proposition à présenter sous la forme d’un titre et d’un court texte de 500 à 1000 signes.
Contact : horiuchi@univ-paris-diderot.fr
Appel à communications pour la Journée d’étude
Statuts et identités dans la société japonaise moderne (XVIIe-XIXe siècles)
Samedi 7 novembre 2015, Université Paris Diderot
Depuis les années 1990, les études interrogeant la société japonaise prémoderne à partir de la question des statuts, des métiers et des fonctions se sont multipliées[1]. Les études de cas ont mis en lumière des stratifications complexes des sociétés urbaines et villageoises, qui ne peuvent se résumer au schéma des quatre couches sociales du shi-nô-kô-shô (guerrier-paysan- artisan-marchand) ainsi que les liens de différents ordres (hiérarchique, vassalique, clientéliste, familial, …) qui retenaient entre elles les composantes constitutives des communautés. La présente journée se propose de poursuivre cette réflexion et de la compléter en introduisant dans le débat la dimension des identités (identité religieuse, identité villageoise ou citadine, identité nationale, identité de lettré, identité de médecin, identité de fonctionnaire, … ). La dimension identitaire permet en effet de comprendre des comportements ou discours adoptés par une frange de la population ou par des individus, les conduisant à aspirer à une autre vie ou une autre condition que celle que lui assigne la naissance ou la société. La journée se propose aussi de porter le regard sur les frontières du Japon, de considérer cette société dans ses interactions avec le monde extérieur ou de s’aider de la comparaison avec d’autres sociétés asiatiques ou d’autres périodes (XVIe siècle) pour mieux saisir ce qui la distingue.
Nous invitons les doctorants à faire des propositions sans hésiter.
Date limite pour les propositions de communications : 1er juillet 2015,
Proposition à présenter sous la forme d’un titre et d’un court texte de 500 à 1000 signes.
Contact : horiuchi@univ-paris-diderot.fr
20 h. 30, accueil musical à partir de 19 h. 30, 17/12 €
http://www.guimet.fr/fr/auditorium/spectacles/le-pere
Samedi 20 juin au Théâtre du Soleil grande scène : entrée libre
14 h. : Symposium “Arts populaires coréens, entre ici et là-bas”
18 h. 30 : 3° Concours “Amateurs de pansori et minyo”
21 h. : Résultats et concert gala impromptu
Dimanche 21 juin au Théâtre du Soleil grande scène : réservation conseillée
14 h. : PANSORI EN TRANSMISSION
Heungboga, Le dit de Heungbo, intégrale surtitrée.
Version école de l’est, par Min Hye-sung et 5 disciples
18 h. ENSEMBLE AUREUM
Musique traditionnelle, savante et populaire
Un concert 20/15/10 €, les deux 30/20/15 €
Bar et petite restaurationcoréenne
20 h. Rituel de clôture Duipuri et farandole Ganggangsullae, entrée libre
http://www.k-vox-festival.com/
20 h. 30, accueil musical à partir de 19 h. 30, 17/12 €
http://www.guimet.fr/fr/auditorium/spectacles/le-pere
Samedi 20 juin au Théâtre du Soleil grande scène : entrée libre
14 h. : Symposium “Arts populaires coréens, entre ici et là-bas”
18 h. 30 : 3° Concours “Amateurs de pansori et minyo”
21 h. : Résultats et concert gala impromptu
Dimanche 21 juin au Théâtre du Soleil grande scène : réservation conseillée
14 h. : PANSORI EN TRANSMISSION
Heungboga, Le dit de Heungbo, intégrale surtitrée.
Version école de l’est, par Min Hye-sung et 5 disciples
18 h. ENSEMBLE AUREUM
Musique traditionnelle, savante et populaire
Un concert 20/15/10 €, les deux 30/20/15 €
Bar et petite restaurationcoréenne
20 h. Rituel de clôture Duipuri et farandole Ganggangsullae, entrée libre
http://www.k-vox-festival.com/
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