Asia Development Institute of Seoul National University invites academics and experts including doctoral and postdoctoral students to apply for the ADI Visiting Fellowship. The ADI Visiting Fellowship aims to support those who intend to undertake research in South Korea for a short period of time (within two weeks) in the field of development studies and public policy broadly understood addressing substantive concerns and issues related to national development in the developing world. We are especially interested in scholars whose work focuses on the South Korean experience either in the form of case study or comparative research.
The Fellowship Grant
The fellowship will cover up an economy class round airfare ticket and a research grant of $1,500 which will cover travel insurance, accommodation, and the expense for field research in South Korea. The recipient will be provided an office at Seoul National University and invited to participate in the academic activities of Asia Development Institute.
Responsibilities
The fellow will be expected to: (1) give a presentation of research at ADI and (2) submit a report of the field research (3) publish academic paper(s) acknowledging the ADI support. The field research should be completed by the end of December 2016.
How to Apply
To submit an application for the 2016 fellowship, applicants may email a COMPLETE and COLLATED PDF file to snuadi@gmail.com with subject ‘2016 ADI Visiting Fellowship_your name’. The application should be submitted by June 30, 2016 consisting of the following items below:
Contact
Tel : +82 2 880 4142 E-mail: snuadi@gmail.com ADI Homepage : http://snuadi.snu.ac.kr/
Asia Development Institute of Seoul National University invites academics and experts including doctoral and postdoctoral students to apply for the ADI Visiting Fellowship. The ADI Visiting Fellowship aims to support those who intend to undertake research in South Korea for a short period of time (within two weeks) in the field of development studies and public policy broadly understood addressing substantive concerns and issues related to national development in the developing world. We are especially interested in scholars whose work focuses on the South Korean experience either in the form of case study or comparative research.
The Fellowship Grant
The fellowship will cover up an economy class round airfare ticket and a research grant of $1,500 which will cover travel insurance, accommodation, and the expense for field research in South Korea. The recipient will be provided an office at Seoul National University and invited to participate in the academic activities of Asia Development Institute.
Responsibilities
The fellow will be expected to: (1) give a presentation of research at ADI and (2) submit a report of the field research (3) publish academic paper(s) acknowledging the ADI support. The field research should be completed by the end of December 2016.
How to Apply
To submit an application for the 2016 fellowship, applicants may email a COMPLETE and COLLATED PDF file to snuadi@gmail.com with subject ‘2016 ADI Visiting Fellowship_your name’. The application should be submitted by June 30, 2016 consisting of the following items below:
Contact
Tel : +82 2 880 4142 E-mail: snuadi@gmail.com ADI Homepage : http://snuadi.snu.ac.kr/
Dans le cadre du séminaire « Histoire culturelle de la Corée »
KIM Daeyeol (Institut national des Langues et Civilisations Orientales) en collaboration avec la BULAC et la bibliothèque centrale de la Corée du Sud (국립중앙도서관) organise une journée d’étude sur
Mardi 3 mai 2016 de 10h à 18h
INALCO / BULAC salle RJ.24
65 rue des Grands Moulins 75013 Paris
Programme :
10h – 10h30 : « Sources d’information principales des études coréennes »
par KIM Mihye, directrice de bureau d’étude de la bibliothèque
10h30 – 12h : « Livres coréens anciens : histoire et culture »
par LEE Hyeeun, professeur de l’université Sookmyung
12h – 13h30 : Déjeuner (offert aux participant(e)s par la bibliothèque coréenne)
13h30 – 14h30 : « Fonds coréens anciens à la BULAC »
par Laurent Quisefit, responsable de fonds coréens de la BULAC.
14h30 – 16h : « Utilisation du KORCIS (Korean Old and Rare Collection Information System » par KIM Hyogyeon, chercheur de la bibliothèque
16h – 16h20 : Pause-café
16h20 – 17h : Stage de documentation
par HAN Jihui, chercheur de la bibliothèque
17h – 18h : Questions et discussions
Le nombre de places est limité. L’étudiant(e) intéressé(e) doit s’inscrire à l’adresse suivante avant le 13 avril : dkim@inalco.fr
Dans le cadre du séminaire « Histoire culturelle de la Corée »
KIM Daeyeol (Institut national des Langues et Civilisations Orientales) en collaboration avec la BULAC et la bibliothèque centrale de la Corée du Sud (국립중앙도서관) organise une journée d’étude sur
Mardi 3 mai 2016 de 10h à 18h
INALCO / BULAC salle RJ.24
65 rue des Grands Moulins 75013 Paris
Programme :
10h – 10h30 : « Sources d’information principales des études coréennes »
par KIM Mihye, directrice de bureau d’étude de la bibliothèque
10h30 – 12h : « Livres coréens anciens : histoire et culture »
par LEE Hyeeun, professeur de l’université Sookmyung
12h – 13h30 : Déjeuner (offert aux participant(e)s par la bibliothèque coréenne)
13h30 – 14h30 : « Fonds coréens anciens à la BULAC »
par Laurent Quisefit, responsable de fonds coréens de la BULAC.
14h30 – 16h : « Utilisation du KORCIS (Korean Old and Rare Collection Information System » par KIM Hyogyeon, chercheur de la bibliothèque
16h – 16h20 : Pause-café
16h20 – 17h : Stage de documentation
par HAN Jihui, chercheur de la bibliothèque
17h – 18h : Questions et discussions
Le nombre de places est limité. L’étudiant(e) intéressé(e) doit s’inscrire à l’adresse suivante avant le 13 avril : dkim@inalco.fr
Pour l’année 2016-2017 (novembre-juin), le séminaire de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales, Paris) « Mésologiques » aura pour thème La genèse des milieux humains : anthropisation, humanisation, hominisation. Cet intitulé fait allusion à la thèse mise en avant par André Leroi-Gourhan, dans Le Geste et la parole (1964), au sujet de l’émergence de notre espèce, Homo sapiens. Par « anthropisation », entendons la transformation physique de l’environnement terrestre sous l’effet des systèmes techniques de l’humanité ; par « humanisation », sa transformation sémantique sous l’effet de nos systèmes symboliques ; et par « hominisation », l’effet en retour de ces transformations sur celle de l’animal en humain.
Sans l’invoquer, cette thèse était l’illustration même du propos de la mésologie contemporaine, telle que l’ont fondée l’Umweltlehre d’Uexküll et le fûdoron 風土論 de Watsuji ; à savoir le couplage dynamique de tout être vivant (Uexküll), humain en particulier (Watsuji), avec le milieu singulier (Umwelt, fûdo 風土) qui lui est propre en tant que sujet, et qui ne doit donc pas être confondu avec l’environnement universel (Umgebung, kankyô 環境) que, de son point de vue transcendantal (le « regard de nulle part »), considère la science moderne – en l’occurrence l’écologie, qui est une science de l’environnement et non, comme la mésologie, une science des milieux, autrement dit une éco-phénoménologie et une bioherméneutique. L’objet central de la mésologie n’est pas l’environnement, c’est le couplage dynamique de l’être et de son milieu propre – cela qu’Uexküll a nommé le « contre-assemblage » (Gegengefüge) de l’animal et de son milieu, et Watsuji la « médiance » (fûdosei 風土性), qu’il a définie comme « le moment structurel de l’existence humaine » (ningen sonzai no kôzô keiki 人間存在の構造契機).
C’est ce couplage dynamique, dans ses effets et ses effets en retour, qu’il s’agit ici de saisir. Si l’on peut considérer l’anthropocène comme un effet d’anthropisation, alors il faut donc s’interroger aussi sur les contre-effets de l’anthropocène sur l’être humain et ses systèmes symboliques ; et réciproquement, dans la triple interaction susdite : anthropisation, humanisation, hominisation, tant d’un point de vue rétrospectif (l’évolution, l’histoire) qu’actuel et prospectif (l’état et l’avenir de nos sociétés sur la Terre).
Références de base :
– Jakob von UEXKÜLL, Milieu animal et milieu humain, Paris, Payot et Rivage, 2010 (Streifzüge durch die Umwelten von Tieren und Menschen, 1934)
– WATSUJI Tetsurô 和辻哲郎, Fûdo, le milieu humain, Paris, CNRS, 2011 (Fûdo. Ningengakuteki kôsatsu風土. 人間学的考察, 1935).
– André LEROI-GOURHAN, Le Geste et la parole, Paris, Albin Michel, 1964, 2 vol.
– Augustin BERQUE, Poétique de la Terre. Histoire naturelle et histoire humaine, essai de mésologie, Paris, Belin, 2014.
Les propositions de communication devront être envoyées par courriel aux responsables du séminaire avant le 30 avril 2016, sous la forme suivante :
– NOM, prénom, date de naissance.
– Adresses postale, téléphonique, électronique.
– Diplômes, fonctions actuelles, principales publications (au maximum 5).
– Titre et résumé (1500 signes) de la communication proposée.
– Périodes où vous ne serez pas disponible.
NB 1 : le séminaire a lieu de 18h à 20 h les 2e et 4e vendredis du mois.
NB 2 : le séminaire n’ayant pas de budget propre, il n’est versé ni émoluments ni indemnités de transport.
Responsables du séminaire :
Augustin Berque, directeur d’études à l’EHESS (berque@ehess.fr)
Luciano Boi, maître de conférences à l’EHESS (lboi@ehess.fr)
Romaric Jannel, doctorant EPHE (romaric6@hotmail.com)
Yoann Moreau, postdoctorant à l’IIAC (EHESS/CNRS, yomoreau@ehess.fr)
Pour l’année 2016-2017 (novembre-juin), le séminaire de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales, Paris) « Mésologiques » aura pour thème La genèse des milieux humains : anthropisation, humanisation, hominisation. Cet intitulé fait allusion à la thèse mise en avant par André Leroi-Gourhan, dans Le Geste et la parole (1964), au sujet de l’émergence de notre espèce, Homo sapiens. Par « anthropisation », entendons la transformation physique de l’environnement terrestre sous l’effet des systèmes techniques de l’humanité ; par « humanisation », sa transformation sémantique sous l’effet de nos systèmes symboliques ; et par « hominisation », l’effet en retour de ces transformations sur celle de l’animal en humain.
Sans l’invoquer, cette thèse était l’illustration même du propos de la mésologie contemporaine, telle que l’ont fondée l’Umweltlehre d’Uexküll et le fûdoron 風土論 de Watsuji ; à savoir le couplage dynamique de tout être vivant (Uexküll), humain en particulier (Watsuji), avec le milieu singulier (Umwelt, fûdo 風土) qui lui est propre en tant que sujet, et qui ne doit donc pas être confondu avec l’environnement universel (Umgebung, kankyô 環境) que, de son point de vue transcendantal (le « regard de nulle part »), considère la science moderne – en l’occurrence l’écologie, qui est une science de l’environnement et non, comme la mésologie, une science des milieux, autrement dit une éco-phénoménologie et une bioherméneutique. L’objet central de la mésologie n’est pas l’environnement, c’est le couplage dynamique de l’être et de son milieu propre – cela qu’Uexküll a nommé le « contre-assemblage » (Gegengefüge) de l’animal et de son milieu, et Watsuji la « médiance » (fûdosei 風土性), qu’il a définie comme « le moment structurel de l’existence humaine » (ningen sonzai no kôzô keiki 人間存在の構造契機).
C’est ce couplage dynamique, dans ses effets et ses effets en retour, qu’il s’agit ici de saisir. Si l’on peut considérer l’anthropocène comme un effet d’anthropisation, alors il faut donc s’interroger aussi sur les contre-effets de l’anthropocène sur l’être humain et ses systèmes symboliques ; et réciproquement, dans la triple interaction susdite : anthropisation, humanisation, hominisation, tant d’un point de vue rétrospectif (l’évolution, l’histoire) qu’actuel et prospectif (l’état et l’avenir de nos sociétés sur la Terre).
Références de base :
– Jakob von UEXKÜLL, Milieu animal et milieu humain, Paris, Payot et Rivage, 2010 (Streifzüge durch die Umwelten von Tieren und Menschen, 1934)
– WATSUJI Tetsurô 和辻哲郎, Fûdo, le milieu humain, Paris, CNRS, 2011 (Fûdo. Ningengakuteki kôsatsu風土. 人間学的考察, 1935).
– André LEROI-GOURHAN, Le Geste et la parole, Paris, Albin Michel, 1964, 2 vol.
– Augustin BERQUE, Poétique de la Terre. Histoire naturelle et histoire humaine, essai de mésologie, Paris, Belin, 2014.
Les propositions de communication devront être envoyées par courriel aux responsables du séminaire avant le 30 avril 2016, sous la forme suivante :
– NOM, prénom, date de naissance.
– Adresses postale, téléphonique, électronique.
– Diplômes, fonctions actuelles, principales publications (au maximum 5).
– Titre et résumé (1500 signes) de la communication proposée.
– Périodes où vous ne serez pas disponible.
NB 1 : le séminaire a lieu de 18h à 20 h les 2e et 4e vendredis du mois.
NB 2 : le séminaire n’ayant pas de budget propre, il n’est versé ni émoluments ni indemnités de transport.
Responsables du séminaire :
Augustin Berque, directeur d’études à l’EHESS (berque@ehess.fr)
Luciano Boi, maître de conférences à l’EHESS (lboi@ehess.fr)
Romaric Jannel, doctorant EPHE (romaric6@hotmail.com)
Yoann Moreau, postdoctorant à l’IIAC (EHESS/CNRS, yomoreau@ehess.fr)
A l’occasion des années croisées France-Corée (2015-2016) qui commémorent le 130ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Corée et le 70ème anniversaire de la Libération, la section d’études coréennes de l’UFR LCAO de l’Université Paris Diderot et le Centre de Recherches sur la Corée (CCJ, CNRS-EHESS) organisent grâce à l’initiative et à la collaboration de l’Université Kookmin et du Independance Hall of Korea un colloque international et deux expositions.
Le colloque : La France et le Mouvement d’indépendance coréen a lieu le lundi 11 avril à l’Université Paris Diderot, en salle des thèses 580F, dans la Halle aux farines, entrée par l’esplanade Vidal Naquet à partir de 9h. L’accueil des participants est assuré à partir de 8h30. Veuillez trouver ci-joint le programme détaillé définitif du colloque.
Le mardi 12 avril 2016 à partir de 10h, il y aura une visite guidée de Paris (Tapsa) sur les traces des indépendantistes coréens et de leurs amis français des années 1920. Un bus de 50 places est prévu. Parcours en transport en commun possible. (Départ : au métro Notre Dame de Lorette) N’hésitez pas à venir nombreux !
Jusqu’au 18 avril, une exposition a lieu à l’Université paris Diderot : Corée, nation exilée : Le mouvement d’indépendance coréen et la France à l’époque de la colonisation japonaise (1910-1945) – quelques documents d’archives… au rez-de-chaussée du hall A du bâtiment des Grands Moulins de l’Université Paris Diderot, entrée par le 5 rue Thomas Mann, 75013 Paris.
Enfin, jusqu’au 15 avril, une autre exposition a lieu à la Mairie du 1er arrondissement de Paris : La « Corée libre » et la France, Rêves de paix.
Merci de vous munir d’une photocopie de l’annonce jointe pour entrer dans les locaux de l’Université Paris Diderot (plan Vigipirate).
Programme détaillé du colloque
Annonce à imprimer (plan Vigipirate)
Affiche de l’exposition à UPD
A l’occasion des années croisées France-Corée (2015-2016) qui commémorent le 130ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Corée et le 70ème anniversaire de la Libération, la section d’études coréennes de l’UFR LCAO de l’Université Paris Diderot et le Centre de Recherches sur la Corée (CCJ, CNRS-EHESS) organisent grâce à l’initiative et à la collaboration de l’Université Kookmin et du Independance Hall of Korea un colloque international et deux expositions.
Le colloque : La France et le Mouvement d’indépendance coréen a lieu le lundi 11 avril à l’Université Paris Diderot, en salle des thèses 580F, dans la Halle aux farines, entrée par l’esplanade Vidal Naquet à partir de 9h. L’accueil des participants est assuré à partir de 8h30. Veuillez trouver ci-joint le programme détaillé définitif du colloque.
Le mardi 12 avril 2016 à partir de 10h, il y aura une visite guidée de Paris (Tapsa) sur les traces des indépendantistes coréens et de leurs amis français des années 1920. Un bus de 50 places est prévu. Parcours en transport en commun possible. (Départ : au métro Notre Dame de Lorette) N’hésitez pas à venir nombreux !
Jusqu’au 18 avril, une exposition a lieu à l’Université paris Diderot : Corée, nation exilée : Le mouvement d’indépendance coréen et la France à l’époque de la colonisation japonaise (1910-1945) – quelques documents d’archives… au rez-de-chaussée du hall A du bâtiment des Grands Moulins de l’Université Paris Diderot, entrée par le 5 rue Thomas Mann, 75013 Paris.
Enfin, jusqu’au 15 avril, une autre exposition a lieu à la Mairie du 1er arrondissement de Paris : La « Corée libre » et la France, Rêves de paix.
Merci de vous munir d’une photocopie de l’annonce jointe pour entrer dans les locaux de l’Université Paris Diderot (plan Vigipirate).
Programme détaillé du colloque
Annonce à imprimer (plan Vigipirate)
Affiche de l’exposition à UPD
