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Call for Papers

Dear Sir, Madam, the International Institute for Asian Studies (Leiden), Asia Centre (Seoul National University), Vietnam National University (Hanoi), Leiden University (Leiden), and École des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris) are organising a two-parts conference In Comparison: Korea and Vietnam in History. For the first part, we invite the submission of paper abstracts on the ‘pre-modern’ and ‘colonial’ periods of Vietnam and Korea.

Scholars do not need to be experts on both countries, but we welcome proposals that are framed in a way that can lead to interesting interactions with people working on the other country.

Vietnam and Korea as Longue Durée Subjects:
Negotiating Tributary and Colonial Positions

Application deadline: 5 July 2016
Conference dates: 3-4 March 2017
Venue: Hanoi, Vietnam

Lire la suite sur le Carnet du Centre Corée.

Art coréen_Page_1

Journée doctorale du Centre de Recherche sur l’Extrême-Orient de Paris-Sorbonne

ARTS DE LA CORÉE

Le vendredi 3 juin de 9h30 à 13h
en salle 239, Galerie-Colbert-INHA
2 rue Vivienne 75002 Paris

Okyang Chae-Duporge, INALCO : Peinture décorative ou peinture populaire (Minhwa)? Collection de Lee Ufan au Musée Guimet

Meejung Kim, Paris-Sorbonne : Architecture intérieure coréenne et paravents dans la seconde moitié de la dynastie Joseon (1392-1910)

Aurore Lerouge, INALCO : Tal, les masques du théâtre coréen : Rôles, diversité et uniformité d’accessoires théâtraux méconnus

Hye-Jun Park, Paris-Sorbonne : La présence de la tradition dans l’art coréen contemporain à partir des exemples de Kimsooja, Kim Ho-deuk, Yee Sookyung, et Kim Ki-chul

Nicole Mercy, Paris-Sorbonne : Les peintures de l’école de Mysore (Inde)

Programme détaillé

Art coréen_Page_1

Journée doctorale du Centre de Recherche sur l’Extrême-Orient de Paris-Sorbonne

ARTS DE LA CORÉE

Le vendredi 3 juin de 9h30 à 13h
en salle 239, Galerie-Colbert-INHA
2 rue Vivienne 75002 Paris

Okyang Chae-Duporge, INALCO : Peinture décorative ou peinture populaire (Minhwa)? Collection de Lee Ufan au Musée Guimet

Meejung Kim, Paris-Sorbonne : Architecture intérieure coréenne et paravents dans la seconde moitié de la dynastie Joseon (1392-1910)

Aurore Lerouge, INALCO : Tal, les masques du théâtre coréen : Rôles, diversité et uniformité d’accessoires théâtraux méconnus

Hye-Jun Park, Paris-Sorbonne : La présence de la tradition dans l’art coréen contemporain à partir des exemples de Kimsooja, Kim Ho-deuk, Yee Sookyung, et Kim Ki-chul

Nicole Mercy, Paris-Sorbonne : Les peintures de l’école de Mysore (Inde)

Programme détaillé

Couronnée le 16 mai au Royaume-Uni pour La végétarienne (Le Serpent à plumes), la romancière partage la prestigieuse récompense littéraire avec sa traductrice britannique, Deborah Smith.

L’auteure sud-coréenne Han Kang a remporté lundi 16 mai à Londres le Man Booker Prize International 2016 pour son roman La végétarienne, traduit en français par Jeong Eun-Jin et Jacques Batilliot au Serpent à plumes en mai 2015, et réédité au Livre de poche en mars dernier. Pour la première fois, le Man Booker a été décerné conjointement à la traductrice de l’ouvrage en anglais, la Britannique Deborah Smith, qui a appris le coréen trois ans avant de se lancer dans la traduction. Les deux femmes vont se partager un chèque de 50 000 livres sterling (63 500  euros).

Le roman, qualifié de lyrique et déchirant par le jury, a été choisi à l’unanimité devant six autres œuvres, dont The Story of the Lost Child d’Elena Ferrante, 4e volume de la série L’amie prodigieuse, dont les deux premiers tomes ont parus en France chez Gallimard.

L’intrigue de La végétarienne est construite en trois parties, qui correspondent aux trois personnages gravitant autour de Yonghye, la femme qui veut devenir végétale pour se sauver du côté obscur de l’être humain : son mari, petit cadre banal, le beau-frère de ce dernier, un artiste vidéaste, et sa soeur, qui l’assiste dans ses derniers moments.

Le Man Booker Prize International, qui récompense un ouvrage étranger traduit en anglais et publié au Royaume-Uni, est un des prix littéraires les plus prestigieux au monde… Lire la suite sur le site Livres Hebdo.

Couronnée le 16 mai au Royaume-Uni pour La végétarienne (Le Serpent à plumes), la romancière partage la prestigieuse récompense littéraire avec sa traductrice britannique, Deborah Smith.

L’auteure sud-coréenne Han Kang a remporté lundi 16 mai à Londres le Man Booker Prize International 2016 pour son roman La végétarienne, traduit en français par Jeong Eun-Jin et Jacques Batilliot au Serpent à plumes en mai 2015, et réédité au Livre de poche en mars dernier. Pour la première fois, le Man Booker a été décerné conjointement à la traductrice de l’ouvrage en anglais, la Britannique Deborah Smith, qui a appris le coréen trois ans avant de se lancer dans la traduction. Les deux femmes vont se partager un chèque de 50 000 livres sterling (63 500  euros).

Le roman, qualifié de lyrique et déchirant par le jury, a été choisi à l’unanimité devant six autres œuvres, dont The Story of the Lost Child d’Elena Ferrante, 4e volume de la série L’amie prodigieuse, dont les deux premiers tomes ont parus en France chez Gallimard.

L’intrigue de La végétarienne est construite en trois parties, qui correspondent aux trois personnages gravitant autour de Yonghye, la femme qui veut devenir végétale pour se sauver du côté obscur de l’être humain : son mari, petit cadre banal, le beau-frère de ce dernier, un artiste vidéaste, et sa soeur, qui l’assiste dans ses derniers moments.

Le Man Booker Prize International, qui récompense un ouvrage étranger traduit en anglais et publié au Royaume-Uni, est un des prix littéraires les plus prestigieux au monde… Lire la suite sur le site Livres Hebdo.

YeonamVendredi 3 juin 2016 de 14h à 18h
Amphithéâtre Quinet – Paris Sorbonne
Paris IV, 54 rue Saint-Jacques 75006

Entrée libre sur réservation,
Inscription obligatoire avant le 31 mai
colloque.kvox4.2016@gmail.com

Pour sa 4ème  édition, le Festival K-VOX / Voix coréennes, avec le KLTI et Paris-Sorbonne : Iremus & Priteps, organise un colloque consacré  aux classiques coréens aujourd’hui. Placés sous la présidence du Pr François Picard, quatre intervenants tenteront de définir ce que représentent les lettrés classiques coréens, et de réfléchir à la manière dont on peut aujourd’hui les approcher et les faire connaître en Occident.

[14:00-14:10] Présentation

[14:10-15:00] Discours d’ouverture par MIN Jung (Prof. à l’Université Hanyang, Séoul)
« YEONAM (PARK JI-WON) ET LES LETTRÉS D’ASIE EXTRÊME-ORIENTALE AU XVIIIÈME SIÈCLE. »
* Le Pr Min Jung, diplômé et enseignant de l’Université Hanyang, a publié de nombreux ouvrages sur le classicisme coréen, sa théorie, son esthétique, ses auteurs, et a traduit en coréen des textes essentiels de cette période. (En coréen, traduit en français.)

[15:10-15:50] Christine JORDIS (Écrivain, membre du comité de lecture des éditions Grasset)
« LA VIE DE CHUSA, OU CE QUE LES VALEUR CONFUCÉENNES ONT ENCORE À NOUS DIRE. »
* Christine Jordis, écrivain fécond et membre du Prix Fémina, a consacré à l’Asie plusieurs livres en forme de récits de voyage et de quête, dont Paysage d’hiver, sur Chusa – Kim Jeong-hui, 1786-1856 (Albin Michel, 2016).

[16:00-16:40] Hervé PÉJAUDIER (Auteur, éditeur)
«  LE PANSORI EST-IL UN ART CLASSIQUE ? »
* Dramaturge, co-traducteur avec Han Yumi, spécialiste du pansori, directeur de la collection Scènes Coréennes aux éditions Imago (Sugungga, Le dit du palais sous les mers, 2012).

[16:50-17:30] Jesùs MUNÀRRIZ (Poète, éditeur)
« QUELQUES REMARQUES SUR LA BRÈVE ACTIVITÉ D’UN ÉDITEUR DE TEXTES CLASSIQUES CORÉENS EN ESPAGNE. »
* Poète, traducteur, fondateur des éditions Hiperiòn, il a publié plusieurs traductions d’ouvrages classiques coréens en espagnol, parmi lesquels une anthologie de Yeonam (Park Ji-Won, 1737 – 1805).

[17:30-18:00] Discussion et fin

Programme détaillé

YeonamVendredi 3 juin 2016 de 14h à 18h
Amphithéâtre Quinet – Paris Sorbonne
Paris IV, 54 rue Saint-Jacques 75006

Entrée libre sur réservation,
Inscription obligatoire avant le 31 mai
colloque.kvox4.2016@gmail.com

Pour sa 4ème  édition, le Festival K-VOX / Voix coréennes, avec le KLTI et Paris-Sorbonne : Iremus & Priteps, organise un colloque consacré  aux classiques coréens aujourd’hui. Placés sous la présidence du Pr François Picard, quatre intervenants tenteront de définir ce que représentent les lettrés classiques coréens, et de réfléchir à la manière dont on peut aujourd’hui les approcher et les faire connaître en Occident.

[14:00-14:10] Présentation

[14:10-15:00] Discours d’ouverture par MIN Jung (Prof. à l’Université Hanyang, Séoul)
« YEONAM (PARK JI-WON) ET LES LETTRÉS D’ASIE EXTRÊME-ORIENTALE AU XVIIIÈME SIÈCLE. »
* Le Pr Min Jung, diplômé et enseignant de l’Université Hanyang, a publié de nombreux ouvrages sur le classicisme coréen, sa théorie, son esthétique, ses auteurs, et a traduit en coréen des textes essentiels de cette période. (En coréen, traduit en français.)

[15:10-15:50] Christine JORDIS (Écrivain, membre du comité de lecture des éditions Grasset)
« LA VIE DE CHUSA, OU CE QUE LES VALEUR CONFUCÉENNES ONT ENCORE À NOUS DIRE. »
* Christine Jordis, écrivain fécond et membre du Prix Fémina, a consacré à l’Asie plusieurs livres en forme de récits de voyage et de quête, dont Paysage d’hiver, sur Chusa – Kim Jeong-hui, 1786-1856 (Albin Michel, 2016).

[16:00-16:40] Hervé PÉJAUDIER (Auteur, éditeur)
«  LE PANSORI EST-IL UN ART CLASSIQUE ? »
* Dramaturge, co-traducteur avec Han Yumi, spécialiste du pansori, directeur de la collection Scènes Coréennes aux éditions Imago (Sugungga, Le dit du palais sous les mers, 2012).

[16:50-17:30] Jesùs MUNÀRRIZ (Poète, éditeur)
« QUELQUES REMARQUES SUR LA BRÈVE ACTIVITÉ D’UN ÉDITEUR DE TEXTES CLASSIQUES CORÉENS EN ESPAGNE. »
* Poète, traducteur, fondateur des éditions Hiperiòn, il a publié plusieurs traductions d’ouvrages classiques coréens en espagnol, parmi lesquels une anthologie de Yeonam (Park Ji-Won, 1737 – 1805).

[17:30-18:00] Discussion et fin

Programme détaillé

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Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS