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International Conference
What is Asia? Changing Boundaries and Identities in Contemporary Asia

  • Dates : 26-27 September, 2016
  • Venue: Room 638-640, 190 avenue de France, 75013 Paris, France
  • Organiser: GIS Asie, CNRS
  • Language: English

Today, ‘Asia’ has become a key term in academic, economic, and political discussions alike. Despite the frequency of its use, however, the content of the notion of ‘Asia’ is extremely complex and diverse with its borders and definitions constantly renegotiated and reinterpreted. In order to explore such complexity and diversity in the region, GIS Asie, together with its international partners, proposes an initiative “EURASIA” as a means to enhance communication and leverage the expertise among Asian studies researchers in Europe and beyond. As part of the EURASIA initiative, this multilateral and interdisciplinary conference aims to provide an arena to discuss various contemporary issues in Asia with a particular focus on its changing boundaries and identities. Lire la suite sur le site du GIS ASIE.

L’Université de La Rochelle recrute un·e maître·sse de langue de coréen pour la Faculté de Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (FLASH). Poste à pourvoir au 1er octobre 2016.

Conditions de candidature

  • Justifier d’une année d’études doctorales accomplie avec succès à l’étranger titre ou d’un diplôme français d’un niveau équivalent à celui du diplôme national de master (décret n°87-754 du 14 septembre 1987)
  • La langue étrangère au titre de laquelle les candidat·e·s se présentent doit être leur langue maternelle ou une autre langue qu’ils pratiquent à l’égal de leur langue maternelle

Environnement de travail
Le poste sera rattaché au Département de Langues Étrangères Appliquées de la Faculté de Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (FLASH).

Profil
L’enseignant·e recruté·e sur ce poste sera en charge de cours de langue et civilisation coréennes dispensés aux étudiant·e·s de la licence LEA anglais-coréen et aux étudiant·e·s du master LEA Langues, Cultures, Affaires Internationales et du master Economie et Commerce International. Les cours de langue et civilisation coréennes à assurer pourront couvrir les niveaux grand débutant (niveau 1) à niveau avancé (niveau 5).
Une prise en charge de cours d’initiation « Découverte de la culture coréenne » destiné aux étudiant·e·s des autres licences LEA Asie-Pacifique pourra éventuellement être demandée.
En sus de cette très bonne maîtrise de la langue coréenne, est également demandée une bonne maîtrise de la langue française. Une spécialisation dans un domaine de recherches concernant la langue et/ou la civilisation coréennes, une inscription en doctorat ou un diplôme de doctorat seraient appréciés.

Type de contrat
Contrat du 01/10/2016 au 31/08/2017

Contact pour information
Monsieur Eric Monteiro
Fonction : Directeur du département LEA
Courriel : eric.monteiro@univ-lr.fr

Candidature
Chaque candidat·e doit constituer un dossier unique au format PDF comprenant :

  • une lettre de motivation
  • un CV
  • une copie du diplôme requis (traduit en français impérativement)

Le dossier doit être déposé sur une application dédiée à cette effet : accédez à l’application (référence de l’offre : MLcoreen)
Date limite de candidature : 21 août 2016

Samuel Guex

« Au pays du matin calme : Nouvelle histoire de la Corée des origines à nos jours »
Par Samuel GUEX
Flammarion, février 2016, 370 pages

Le mot de l’éditeur
Mais quel est donc le mystère de ce pays étonnant, doté d’une créativité sans limites ? Après les industries lourdes, automobiles, électroniques, la Corée est en passe de réussir dans de nouveaux domaines où on ne l’attendait pas : le cinéma, les livres ou encore la musique. Une conquête mondiale, un soft power presque parfait qui hisse désormais le pays au rang des nations les plus développées…

Pourtant, la péninsule hyper connectée et résolument tournée vers l’avenir s’enorgueillit de son histoire plurimillénaire, riche en mythologies et personnages légendaires, et toujours endurante aux défis posés par ses impérieux voisins : le Japon ou la Chine. Après son annexion par l’empire japonais en 1920, la Corée avait disparu de la scène mondiale. Elle ne réapparut qu’avec la guerre de Corée, un événement qui résuma longtemps à lui seul notre connaissance de cette région de l’Asie. Au fil des pages, Samuel Guex raconte la longue histoire de ce pays qui, tel un phénix, renaît sans cesse et ne renonce jamais. Mêlant son récit aux débats actuels qui agitent les Coréens – et la Réunification n’est pas l’un des moindres –, il montre à quel point le passé reste fondamental pour comprendre la modernité de la Corée…

A propos de l’auteur
Samuel GUEX enseigne l’histoire de la Corée à l’Université de Genève après des études en Chine, au Japon et en Corée du Sud. Ses recherches portent principalement sur les relations entre ces trois pays aux XIXe et XXe siècles.

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L’École française d’Extrême-Orient propose chaque année des allocations de terrain permettant à des étudiants d’effectuer un séjour de recherche de un à six mois dans les Centres de l’EFEO en Asie. Les candidatures sont ouvertes aux étudiants de Master II recherche et de doctorat travaillant dans le domaine des sciences humaines et sociales relatives aux civilisations des pays d’Asie.

La date limite de candidature est fixée au 30 septembre 2016 inclus pour des séjours d’étude programmés au cours du premier semestre de l’année 2017.

 Tous les détails sont consultables sur la page suivante : http://www.efeo.fr/bourses-conditions_procedures

2016 Conférence internationale à Korea University

Les archives audiovisuelles et les études en histoire
― Expéiences et méthodes

lundi 11 et mardi 12 juillet 2016 à Séoul

Le colloque « Les archives audiovisuelles et l’études en histoire – Expériences et méthodes » vient à la suite d’un vaste programme de recherche « Modern Korean Film Collection and Digitization Project » conduit par le Center of Korean History de la Korea University. Après avoir procédé à la collecte des archives audiovisuelles aux États-Unis, en Russie, en Allemagne et en France, représentant les événements qui ont marqué l’histoire de la Corée (la colonisation japonaise, la Deuxième Guerre mondiale, la Guerre froide, la Guerre de Corée, les mouvements de révolte d’étudiants dans les années 1970 et 1980, etc.) les questions de méthodologie se posent. Comment utiliser ces documents ? Quel est leur apport au regard des sources écrites ? Quelle est l’attitude de l’historien face à des actualités cinématographiques commanditées par les armées ? Quelles sont les frontières entre Histoire-mémoire et l’Histoire-générale ? Comment passe-t-on de l’image d’archive au document d’Histoire ? Le colloque s’inscrivant dans les manifestations culturelles et scientifiques de l’Année France-Corée, les réponses à ces questionnements prendront appui sur le seul corpus d’archives françaises. Les responsables des collections françaises et des historiens français partageront leur expérience avec les historiens coréens.

Programme détaillé

PAK

Mercredi 1er  juillet 2016 de 18h30 à 20h30
Centre Culturel Coréen
2 avenue d’Iéna 75116 Paris

Traduit par le coréanologue Marc Orange, dans une nouvelle édition bilingue qui vient d’être publiée par l’Asiathèque, ce très intéressant roman coréen, nationaliste, féministe, plein de vie et d’aventures, a pour toile de fond la Corée de la première moitié du XVIIe siècle, soumise aux invasions mandchoues. Comme l’explique Li Ogg (1928-2001) dans la préface qu’il écrivit pour l’édition de 1982 et qui est reprise dans la présente édition, le nom de son auteur (une femme ?) n’est pas connu et il n’est pas écrit en chinois classique mais en langue coréenne.

La particularité de l’héroïne, dame Pak est d’être pourvue de dons extraordinaires, mais d’être affligée d’une très grande laideur due à des erreurs commises dans une vie antérieure. Le contraste entre son immense savoir et son aspect repoussant donne lieu à des échanges très vifs entre le beau-père, la belle-mère et l’époux terrifié, incapable de remplir son devoir conjugal. Mais le châtiment subi par dame Pak n’aura qu’un temps et elle retrouvera finalement sa beauté merveilleuse tout en continuant d’accomplir mille exploits pour le bien de sa famille et de son pays.

Bien que ce récit soit empreint d’esprit confucéen, il met en question, avec une liberté de ton surprenante, la difficulté qu’a une femme à faire reconnaître ses talents.

Marc Orange, fut directeur de l’Institut d’études coréennes au Collège de France et reçut le prix culturel Sejong 2013. Lors de cette présentation, il dialoguera avec Alain Génetiot, professeur de littérature française du XVIIe siècle à l’Université de Lorraine. De larges extraits de la traduction de l’Histoire de dame Pak seront lus par Hervé Péjaudier, écrivain, comédien, spécialiste du théâtre coréen et directeur de la collection « Scènes coréennes » aux éditions Imago.

Source : Centre Culturel Coréen

1Depuis plusieurs années, la section d’Études Coréennes de l’INALCO organise chaque année une journée en l’honneur de la Corée vers le mois de mai. Les étudiants du département d’Études Coréennes (nouveau département dans cet établissement depuis le début d’année 2016) se mobilisent alors afin de représenter au mieux la culture coréenne aux étudiants de cet institut et aux personnes extérieures, autour de représentations artistiques, d’activités et de la gastronomie coréenne.

La journée de la Corée, soit la fête du printemps, fête mise à l’honneur cette année, a eu lieu le 9 mai 2016 où les représentants étudiants du département coréen, organisateurs de cet événement, ont eu le plaisir de réaliser une journée festive et riche en découvertes à l’aide de l’association Babel, du Rescor, de sponsors, des professeurs, du personnel administratif de l’INALCO, des étudiants et des intervenants extérieurs.

L’équipe organisant la journée de la Corée a œuvré afin de faire connaître l’évènement auprès d’autres organisations en rapport avec ce pays. C’est ainsi que le Centre Culturel Coréen nous a mis en contact avec une danseuse traditionnelle qui a accepté de participer au spectacle de cette journée. De plus, plusieurs organisations nous ont permis de rendre possible une tombola et cela de façon plus vivante et excitante telles que l’agence Entre Paris et Séoul, nous ayant offert un billet d’avion A/R pour la Corée du Sud, ainsi que la librairie Le Phénix ayant eu la générosité de mettre en place un stand à l’INALCO afin de vendre des livres en rapport avec la culture coréenne, lors de la journée de la Corée. Enfin, le restaurant coréen KB a apporté son aide avec de la nourriture coréenne fournie par leurs soins et deux personnes de leur restaurant pour nous aider lors de la vente de nourriture.

Dès 11h du matin, nous étions prêts à accueillir les étudiants (et autres personnes intéressées) pour de nombreuses activités.

En effet, nous proposions de nombreux jeux traditionnels coréens tels que le 윷놀이, le 재기차기, etc. présentés à l’aide d’étudiants bénévoles et de certains professeurs du département coréen. Les différents jeux, au nombre de 6 jeux au total répartis sur la journée, duraient généralement deux heures ce qui permettaient alors de faire participer toutes les personnes intéressées par ceux-ci. Puis, afin de motiver les joueurs, nous proposions des bonbons coréens à gagner.

De plus, un arbre à souhait était à disposition de 11h à 16h, tenu par deux étudiantes bénévoles de deuxième année de coréen ainsi qu’un stand pour participer à la tombola.

Enfin, un stand de vente de livres coréens était disponible de 14h à 16h proposant alors principalement différentes œuvres publiées chez Actes Sud. La libraire Le Phénix a non seulement eu la générosité de nous permettre cette vente mais elle nous a également fourni une personne de leur équipe s’occupant de ce stand.

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LE STAND DE L’ARBRE A SOUHAIT

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LE STAND DE LA VENTE DE LIVRES

A partir de 12h, nous avons ouvert notre stand pour la vente de nourriture, la queue étant déjà assez conséquente. La nourriture proposée était réalisée par les soins de différents étudiants du département coréen ainsi que par le restaurant KB. Nous proposions donc des spécialités coréennes telles que du japchae 잡채, des kimbap 김밥 au thon et au boeuf, du yangnyeom chicken 양념치킨, du pajeon 파전 et du kimchijeon 김치전. Les « clients » pouvaient alors composer leur propre assiette et choisir ce qu’ils souhaitaient. Cette vente s’est alors déroulée jusqu’à environ 14h, écoulant presque tout le stock réalisé pour celle-ci.

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LE STAND DE LA VENTE DE NOURRITURE

Pour le spectacle de la Journée de la Corée de l’année 2016, nous avons pris le risque de réaliser un spectacle de trois heures (de 14h à 17h) mêlant alors différentes performances artistiques. Ayant eu un temps limité pour préparer cela, il a été assez difficile de pouvoir bénéficier de professionnels. Cependant, nous avons eu la chance d’accueillir la danseuse traditionnelle An Jae-hyun qui nous a délivré une performance envoutante d’une dizaine de minutes. Par la suite, ce sont principalement des étudiants de l’INALCO (et pas nécessairement des étudiants du département coréen) qui sont montés sur scène afin de réaliser des performances de qualité de chant et de danse modernes. Cependant, dans le souhait de montrer quelques aspects traditionnels de l’art coréen, nous souhaitions faire allusion à la fête des enfants en Corée du Sud en préparant la lecture d’un conte traditionnel coréen et certains étudiants de l’INALCO ont également chanté du trot 트로트, pop traditionnelle coréenne, afin de clôturer le spectacle en beauté. Enfin, les résultats de la tombola ont été annoncés à la fin du spectacle.

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DE GAUCHE A DROITE : ASHOK ROSE ET CHLOE JEUN (MC), MAITSO RADERANDRAIBE (CO-DIRECTRICE DU POLE ARTISTIQUE), ROBIN PASTOR (CHEF DE PROJET), ISABELLE KANTIONO (CO-DIRECTRICE DU POLE ARTISTIQUE)

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AN JAE-HYUN, DANSEUSE TRADITIONNELLE

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DANSEURS DU BUREAU DES ETUDIANTS DE L’INALCO

Robin PASTOR
Chef des représentants étudiants du département d’Études Coréennes à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO)
pour le Réseau des Études sur la Corée

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Compte-rendu de la conférence du 12 février 2016
– Kugyŏl 口訣, un autre système d’écriture coréen

Le vendredi 12 février s’est tenue la conférence de l’équipe ASIEs « Kugyŏl 口訣, un autre système d’écriture coréen » présentée par Madame LEE Jeon Kyung 이전경, professeur du département des Sciences Humaines de l’université Yonsei (연세대 인문학연구원 HK연구). Madame LEE Jeon Kyung est une spécialiste de l’étude des caractères d’écriture. Elle a récemment publié un ouvrage sur les caractères d’écriture en Corée, Han’guk-ŭi munja-tŭl (한국의 문자들,  Les caractères d’écriture de la Corée), avec le professeur KIM Hasu (김하수) du département de Langues & Lettres de l’université Yonsei.

Dans sa présentation, Mme LEE Jeon Kyung nous a présenté le kugyŏl, système d’écriture utilisé pour la transcription de la langue coréenne, en le mettant en perspective avec les autres systèmes d’écriture coréens qui ont pu cohabiter avec celui-ci jusqu’à la colonisation japonaise.

Mme LEE Jeon Kyung nous a d’abord résumé l’histoire de l’apparition des différents systèmes d’écritures dans la péninsule coréenne en particulier le hyangch’al (鄕札), le idu (吏讀) et le kugyŏl (口訣). Elle a expliqué que des systèmes d’écriture, qui reprennent ou s’inspirent des sinogrammes, ont été créés concomitamment par les différents pays de l’aire sinisée. Ces pays ont eu besoin d’un système de notation pour annoter ou traduire, au moins partiellement, les sûtras bouddhiques chinois, besoin qui s’est accru pour la lecture des Classiques confucéens. Ainsi on trouve beaucoup de similitudes entre les systèmes d’écritures japonais et coréens comme le hyangch’al et le man’yōgana (万葉仮名) ou le kugyŏl et les kana (仮名). Elle a expliqué ensuite que c’est à partir du XVe siècle que les systèmes d’écritures coréens ont commencé à être clairement distingués les uns des autres avec l’apparition de termes spécifiques pour les désigner.

A la différence du idu et du hyangch’al qui utilisent les caractères chinois pour leur valeurs sémantiques ou phonétiques, le kugyŏl est à rapprocher des kana japonais en ce qu’il utilise des caractères chinois et leurs simplifications comme un syllabaire. Néanmoins, à la différence des kana, le kugy car le coréen est une langue à consonne finale (받침, patch’im). De plus, tandis que le hyangch’al nous est principalement parvenu comme outil de notation des chants coréens hyangga (鄕歌) et le idu comme système d’écriture plutôt utilisé par le milieu politique et administratif, le kugyŏl semble avoir principalement servi comme moyen d’annotation pour apprentissage de la lecture des Classiques confucéens et du chinois classique. Cependant, le professeur LEE Jeon Kyung  a précisé que cela n’empêche pas de trouver des formes similaires dans les trois systèmes d’écritures. Par exemple, l’utilisation du sinogramme 乙, prononcé « ŭl » à la coréenne, qui était utilisé pour indiquer le complément d’objet. Il a dû être utilisé par les trois systèmes pour son homophonie avec les particules ŭl et rŭl de la langue coréenne qui indiquent aussi le complément d’objet d’une proposition).

La date de l’apparition du kugyŏl est encore incertaine, cependant Mme Lee Jeon Kyung estime qu’il serait apparu au VIIe siècle, si ce n’est avant, puisque les matériaux retrouvés les plus anciens sont des gravures sur planchettes de bois, mok’kan (木簡) et les premières mentions trouvées seraient dans les Mémoires historiques des Trois royaumes (三國史記, samguk sagi) et les Histoires oubliées des Trois Royaumes (三國遺事, samguk yusa). Le kugyŏl était alors écrit en mélangeant la langue coréenne et le chinois classique. À partir du XVe siècle, le kugyŏl semble avoir surtout été utilisé comme signe d’annotation des textes en chinois classique, servant par exemple à indiquer le complément d’objet ou le sujet d’une proposition. Elle a expliqué qu’il existe plusieurs types de kugyŏl qui peuvent prendre différentes places dans un texte avec un contenu et des sens variés. La lecture et la compréhension du kugyŏl dépend du texte, autrement dit de son caractère bouddhique ou confucéen, de celui qui l’a annoté, de l’ordre des caractères, du contenu noté en kugyŏl puisqu’il pouvait être utilisé pour différents buts (pour noter la prononciation, la traduction, comme clefs de lecture ou comme mots fonctionnels coréens).

Mme LEE Jeon Kyung a conclu en rappelant que le kugyŏl est une écriture qui peut attester des formes anciennes de la langue coréenne. Il témoigne d’un caractère spécifique individuel ou régional. Du point de vue de l’histoire de l’écriture coréenne, il montre des caractéristiques très variées qui ont dû avoir une influence dans le processus de création du han’gŭl.

Lors de la discussion qui a suivi, une première question a été posée sur l’utilisation politique du han’gŭl et du kugyŏl, puis une autre sur une éventuelle présence du kugyŏl dans les textes de fictions.

Kevin JASMIN
Étudiant en deuxième année de Master d’Études Coréennes à l’Université Paris Diderot
Pour le Réseau des Études sur la Corée
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Le GIS Asie organise en 2016
la première édition du Prix de thèse sur l’Asie

Date limite de dépôt : 30 septembre 2016

Sont éligibles des travaux soutenus en 2014 et 2015, dans toutes les disciplines des lettres et sciences humaines et sociales et portant sur l’Asie (de l’Asie centrale à l’Indonésie).

Trois prix, d’une valeur de 2000€ chacun, seront attribués par le jury, composé de membres du conseil scientifique du GIS, et seront remis solennellement en décembre 2016.

Conditions générales de candidature :

  • Avoir soutenu entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2015 une thèse en français ou en France sur l’Asie en lettres et sciences humaines et sociales.
  • Avoir obtenu les félicitations du jury (dans les universités où cela se pratique).
  • Avoir envoyé une candidature complète par voie électronique (onglet « soumettre votre thèse »), au plus tard le vendredi 30 septembre 2016.
  • Avoir envoyé par courrier ou déposé un exemplaire papier de la thèse au GIS (au plus tard le 30 septembre 2016), à l’adresse :

Prix de thèse du GIS Asie
Réseau Asie- bureau 620
190 avenue de France 75013 Paris

Contact : dir-gisasie@cnrs.fr
Site web https://asiethese2016.sciencesconf.org/

KIM Gwi-ok

(professor of the Dept. of Liberal Arts and Science in Hansung University)
Professeure invitée à l’EHESS,

donne une conférence intitulée

« DMZ and Regions in South Korea : the case of Cheorwon »

 Vendredi 17 juin 2016 de 14h à 16h
Université Paris Diderot / salle des conseils 481C

(Bâtiment des Grands Moulins Hall C, 4ème étage)
5 rue Thomas Mann 75013 Paris

Lire le résumé de la conférence sur le Carnet du Centre Corée.

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS