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The Trustees of the Needham Research Institute invite applications from suitably qualified candidates for a Soon-Young Kim Award in the History of East Asian Science and Technology.  The Award will be tenable from October 2015.

 

The Award may be held in either of two modes:

 

 

(a) A one-year post-doctoral research fellowship.

(b) The first year of a studentship to support research for the degree of PhD in the University of Cambridge, with the potential for renewal year by year thereafter.

Applicants must specify clearly under which mode they wish to hold the Award when making their application.  Applications should be made by email, using the application form available here. 

Closing date is January 31st 2015. 

 

Priority in making awards will be given to applicants who propose to carry out research in the following areas, which are given in order of priority:

 

(1) The history of science and technology in modern Korea

 

(2) The history of science and technology in modern Japan

 

(3) The history of science and technology in modern China, or the history of modern medicine in any of the above three countries.

 

The word ‘modern’ here designates the period after 1850, and ‘science’ is taken to include mathematics, whether pure or applied. Strong preference will be given to projects centering on the 20th century or later.

 

Post-doctoral research fellowship mode:

 

If the Award is to be held under this mode, the applicant must hold the degree of PhD in a relevant area of research.  The award will consist of a stipend to meet the expenses of living in Cambridge, where the Award holder will be expected to reside during tenure of the award.  The Award holder will be given office space in the Needham Research Institute, and will be expected to participate fully in the academic life of the Institute.

 

Candidates should send the completed application form with a full curriculum vitae, a detailed research proposal, and the name of two academic referees who are prepared to report in confidence on the candidate’s work.

 

PhD studentship mode:

 

The purpose of the Studentship is to support students who have been admitted to work for a PhD degree in the University of Cambridge in the areas of study specified above. In the case of a student admitted directly to work for the PhD degree, the award shall be for three years at maximum. In appropriate cases, where the student is initially admitted to work for an MPhil preparatory to beginning work for a PhD, the Trustees may be prepared to consider making the award for up to four years at maximum.  In all cases the continuation of the award from year to year will be conditional on the student making satisfactory progress in the view of the Trustees.  The successful candidate will be given working space in the Needham Research Institute (www.nri.org.uk), which has unparalleled research facilities in the fields of the history of science, technology and medicine in East Asia.  The Studentship is associated with Darwin College, and the successful award holder will normally be admitted to full membership of the College for the tenure of the Studentship.

 

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Depuis la mi-septembre 2014, le Réseau des Études sur la Corée (RESCOR) est entré dans la dernière année de son programme. Que de chemin parcouru depuis l’automne 2010 ! Nous prévoyons d’organiser un colloque international réunissant des représentants des spécialistes des études coréennes en langue française. L’objectif de cet événement sera de faire le bilan de cinq années d’activité et de poser des jalons dans la perspective d’un renouvellement du programme auprès du Service de Promotion des Études sur la Corée à l’étranger, service dépendant du Ministère de l’Éducation sud-coréen, hébergé à Sǒngnam, auprès de l’Académie des Études coréennes.

Les outils élaborés par le Réseau ont vocation à être développés et à accompagner l’évolution des acteurs et des contenus dans la durée : le carnet de recherche (blog), le site Web avec l’ouverture prochaine du site de traduction et la mise en ligne de ressources pédagogiques. Ces outils n’ont pas encore donné toute la mesure de ce que nous pouvons en attendre. Nous avons donc le sentiment d’être au début d’une aventure et non à son terme, avec la mise en place de ces nouveaux moyens de communication et de valorisation de la recherche. Mais tout cela n’a de sens que si les personnes concernées les utilisent et se sentent responsables de leur existence. De plus, nous avons conscience que nous participons à la mise en valeur d’un fonds qui contribue à la construction de la mémoire et donc de l’identité des études coréennes francophones.

Nous souhaitons que ce dernier colloque, prévu en septembre 2015, soit également l’occasion de réunir les principaux acteurs du RESCOR et de nous réjouir du travail accompli. Enfin, nous sommes heureux de vous annoncer la tenue prochaine du colloque « Pluralité religieuse en Asie de l’Est (Chine, Corée, Japon) » organisé par Kim Daeyeol de l’INALCO, membre du Réseau, les 20 et 21 novembre 2014. Le programme du colloque sera prochainement diffusé par les canaux habituels du Réseau.

 

 

Yannick Bruneton

Responsable du Réseau des Études sur la Corée

 

Vous pouvez télécharger le bulletin n°4 du Réseau des Études sur la Corée ici.

 

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La personne collective en coréen : wuli, ‘nous’

 Stéphane Couralet

Edition Lambert-Lucas, 2014

Alors que l’intérêt du public pour la Corée est chaque jour plus manifeste, les études de la langue coréenne sont quasi inexistantes en France. Le cas de wuli, ‘nous’, en est une illustration exemplaire. Cette marque indexicale de la personne nationale n’a été considérée jusqu’à ce jour que dans une perspective anthropologique ou sociologique sur des bases linguistiques incertaines ne permettant que des interprétations hasardeuses. Partant de l’étude de 30 000 collocations discursives, le présent ouvrage est la première grammaire de wuli fondée sur l’usage des Coréens. L’auteur montre que cet usage repose sur deux grandes matrices syntaxico-sémantiques selon que le cotexte d’emploi est verbal ou nominal. Mais le traitement de ce corpus de masse permet aussi de mettre au jour d’autres significations dont l’usager coréen natif n’a pas conscience. Les résultats de cette description intéressent également la linguistique générale et la typologie des langues en apportant un nouvel éclairage sur les catégories de la personne et du nombre.

 

 

Séminaire pluridisciplinaire d’études coréennes

Centre Corée de l’EHESS et UMR 8173 Chine, Corée, Japon

 

Sauf précision, les séances se tiennent habituellement de 14h à 16h dans les salons du 1erétage de la Maison d’Asie, 22 avenue du Président Wilson, 75116 Paris (M° Iéna ou Trocadéro).

 

7 novembre 2014

Table ronde : « Retour de terrain 2014 »

Avec Florence Galmiche (Université Paris-Diderot), Hui-yeon Kim (INALCO), Marie-Orange Rivé-Lasan (Université Paris-Diderot), Eunsil Yim (Université Paris-Diderot)

Les participantes présenteront les sujets et les lieux d’enquêtes qu’elles ont pu investiguer en 2014, grâce aux missions soutenues par le Centre Corée et l’UMR 8173.

 

Programme :
 
14h-14h30, Kim Hui-yeon 
14h30-15h, Marie-Orange Rivé-Lasan 
15h-15h30, Florence Galmiche 
15h30-16h, Yim Eunsil 
16h-16h10, pause 
16h10-17h, discussion générale 

 

Source : Centre de recherches sur la Corée

« À la table du traducteur »

 

Le jeudi 18 décembre 2014, de 18h30 à 20h30

 

Table ronde sur la traduction et la circulation des savoirs entre la France, la Russie, la Turquie et la Corée, avec Hamit Bozarslan, Wladimir Berelowitch et Alain Delissen (École des hautes études en sciences sociales).

 

En collaboration avec les Éditions de l’EHESS.

 

Comment comprendre le monde contemporain, sans traduire ce qui s’écrit en histoire, philosophie ou sociologie dans des régions du monde en plein bouleversement ? Si l’internationalisation des sciences humaines et sociales s’accompagne d’une utilisation massive de l’anglais, une pensée critique du monde contemporain ne peut se construire que dans des circulations multiples et une réflexion critique sur la transposition des concepts. Comment circulent aujourd’hui les sciences sociales entre la France, le monde turc, la Corée ou encore la Russie, sur quelles traditions s’appuient-elles, quels sont les vecteurs de connaissance et les points de blocages ?

 

Alain Delissen est historien, géographe et coréaniste. Travaillant sur la période coloniale, il y étudie les formes matérielles, sociales ou symboliques de Séoul, bouleversé par de puissantes migrations où se jouent assimilation et discrimination. Observateur de la Corée contemporaine divisée, il tente d’en saisir l’évolution au moyen privilégié des usages savants et sociaux, publics ou privés du passé national. Il dirige depuis une dizaine d’année un groupe de travail qui a placé la traduction collective des sciences sociales coréennes au cœur de ses pratiques de recherche et de son engagement pédagogique.

 

Allons-y

Auditorium du Pôle des langues et civilisations

65, rue des Grands Moulins

75013 PARIS

 

Métro : Bibliothèque François Mitterrand

Bus : 62, 64, 89, 132, 325

Tram : T3a – Avenue de France

 

Mission action culturelle

Tél. : 01 81 69 18 38

action-culturelle [à] bulac.fr

 

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Article de Li Hong, Professeur d’Histoire à l’Université Inha (Incheon, Corée du Sud), “L’importance de l’ASEAN dans la stratégie diplomatique de la République de la Corée”.

Dans Monde chinois, Intégrations asiatiques, 2014/1 (N° 37), pages 79 – 87

Premières lignes

La Corée du Sud doit aujourd’hui garder un œil particulièrement vigilant sur la situation politique intérieure de la Corée du Nord et les velléités de Kim Jong-un tout en s’efforçant d’affirmer sa présence en Asie du Nord-Est en suivant une stratégie qui semble se diriger vers un rapprochement avec la Chine et un durcissement de ses relations avec le Japon. Dans ce climat de tensions à l’issue incertaine,…

Plan de l’article

  1. Introduction
  2. Les origines du partenariat
  3. Des intérêts géostratégiques
  4. Les effets attendus des accords de libre échange
  5. Conclusion

 

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS