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Arnaud Nanta (2019), «The Postcolonial Rewriting of the Past in North and South Korea Following Independence (1950s–1960s)», in “Masters” and “Natives”: Digging the Others’ Past, Ed. by Gorshenina Svetlana, Bornet Philippe, Fuchs Michel E. and Rapin Claude, De Gruyter, 2019. pp. 307-321.

Korea was subject to Japanese colonial rule from 1905 to 1945, and right from its outset saw a series of studies conducted in a quest to understand its history and society. This began with field investigations carried out by Japanese scholars in the early twentieth century and was followed by a survey of Korea’s ancient customs and institutions. It resulted in institutionalized archaeology being established in 1916 via the creation of the Committee for the Investigation of Korean Antiquities, and in 1922 with the Committee for the Compilation of Korean History. This contribution examines the academic criticism that has existed in North and South Korea since the peninsula regained its independence; in particular, it will present some of the legacies of the Korean nationalist historiography written under colonial rule, focusing on the 1950s and 1960s. If postcolonial criticism in North and South Korea provides a vivid and enlightening illustration of the internal trends that drive the academic world in decolonized countries, it has also followed its own unique timetable reflecting the particularities of the two countries created in 1948 and the history of East Asia. Pour plus d’informations, voir le site web de l’Institut d’Asie Orientale.

« Monsieur Choi 영원한 청년 »
최승언교수추모집간행위원회, 2019년 8월, 467쪽

979-11-5707-201-9

이 책에는 친구와 선후배, 후학을 비롯해 지인과 가족들에 이르기까지 총 56편의 글이 실렸다. 모든 분들의 글에서는 하나같이 최 선생님의 삶이 투명하고도 오롯이 빛나고 있었다. 어린 시절부터 말년에 이르기까지 시리도록 아름다웠던 최 선생님의 삶이 찬란하게 부활하는 듯 여겨질 정도이다. 그런 점에서 이 책은 단순히 최 선생님에 대한 추모 글을 모은 것이 아니라, 최 선생님의 일대기를 다룬 평전이라 해도 크게 부족하지 않을 것 같다. 이 자리를 빌어 모든 선생님들께 머리 숙여 감사하다는 말씀을 드린다.

Conférence Franco-Coréenne     

1ère édition

Le 16 novembre  2019  de 14h30 à 18h30  

Cité Internationale Universitaire de Paris
À la Maison de la Corée

Conférence suivie par le cocktail dînatoire

Inscription par courriel obligatoire :

jacof.asso@gmail.com

Coordinateurs

Mme Sojung SHIM

Dentiste, Présidente de JACOF(Jeunes Actifs Coréens de France)

Marc MELKA

Diplomate

Poster en français (PDF)

Poster en coréen (PDF)

Alain Arrault donne une conférence sur la statuaire religieuse en Chine, au Japon et en Corée le jeudi 7 novembre 2019 à 14h au Salon Pelliot de l’Hôtel Heidelbach.

Cette conférence est organisée par la Société des amis du Musée Guimet.

Pour plus d’informations suivre le lien.

Projection-débat du film “Shusenjô 主戦場”, en présence du réalisateur Miki DEZAKI.

Discutants : Alain Delissen (EHESS-CCJ), Arnaud Nanta (IAO-CNRS), Karoline Postel-Vinay (Sciences Po-CERI)

Dates : 

Samedi 16 novembre 2019 de 14h00 à 17h00

Lieu : 

Inalco, PLC (65, rue des Grands Moulins), Amphi 3

Dans la limite des places disponibles
Inscription obligatoire : isabelle.konuma [@] inalco.fr

Le débat aura lieu en anglais.

Synopsis:

The “comfort women” issue is perhaps Japan’s most contentious present-day diplomatic quandary. Inside Japan, the issue is dividing the country across clear ideological lines. Supporters and detractors of “comfort women” are caught in a relentless battle over empirical evidence, the validity of oral testimony, the number of victims, the meaning of sexual slavery, and the definition of coercive recruitment. Credibility, legitimacy and influence serve as the rallying cry for all those involved in the battle. In addition, this largely domestic battleground has been shifted to the international arena, commanding the participation of various state and non-state actors and institutions from all over the world. This film delves deep into the most contentious debates and uncovers the hidden intentions of the supporters and detractors of comfort women. Most importantly it finds answers to some of the biggest questions for Japanese and Koreans: Were comfort women prostitutes or sex slaves? Were they coercively recruited? And, does Japan have a legal responsibility to apologize to the former comfort women? Pour plus d’informations, voir le site de l’INALCO.

La soutenance de thèse de Hong Sora aura lieu

 le vendredi 13 décembre 2019 de 13h à 19h

à l’EHESS (salle 08)

105 Boulevard Raspail 75006 Paris

Titre de la thèse

« La génération des centres culturels (Munhwawon sedae) et la nouvelle vague du cinéma sud-coréen des années 1980 et 1990 »

Jury

  • Laurent Creton, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3
  • Giusy Pisano, Ecole nationale supérieure Louis-Lumière
  • Marie-Orange  Rivé-Lasan, Université Paris Diderot – Paris 7
  • Léo Souillés-Debats, Université de Lorraine
  • Stéphane Thévenet, Institut national des langues et civilisations orientales

Résumé

La génération des centres culturels (Munhwawon sedae) et la nouvelle vague du cinéma sud-coréen des années 1980-1990

Depuis les années 1980, la Corée du Sud a observé un processus de légitimation culturelle du cinéma. En prenant appui sur ce phénomène, cette thèse attire l’attention sur le rôle des cinéphiles regroupés sous l’expression, « Munhwawon sedae » : la génération des centres culturels. Dans cette thèse, nous la définissons comme un réseau social de cinéphiles sud-coréens qui émerge à partir de la fréquentation des centres culturels européens à Séoul sur une période qui s’étend entre 1977 et 1984. Notre analyse de ce réseau s’appuie sur une méthode prosopographique permettant d’apprécier les rapports entre individus et institutions, et en particulier la trajectoire et les différents discours portant sur le 7e art de la Munhwawon sedae. Cette trajectoire est nourrie par un type intellectuel de cinéphilie en provenance de l’Europe, notamment de la France et de l’Allemagne, mais aussi plus localement, par les théories portées par le mouvement culturel pour le « minjung » (peuple). Les discours produits sur ce nouveau cinéma sud-coréen se situent donc, à la frontière entre l’art et la politique, celle-ci étant pensée comme un contrepoids à un système politique jugé corrompu. Cependant, avec l’effervescence du mouvement pour la démocratisation du pays, la résistance contre le régime autoritaire prend alors plus d’importance que le 7e art en tant que tel. Il faut attendre l’apaisement du mouvement social dû à certains processus de démocratisation politique pour qu’un équilibre se dessine entre l’ambition esthétique et l’ambition politique de la Munhwawon sedae. Son engagement pour l’évolution du cinéma sud-coréen constitue une réelle initiative dans le champ cinématographique du pays. Dès lors, les « membres » de la Munhwawon sedae qui, autrefois n’avaient été que simples spectateurs, diffusent leur cinéphilie en tant que réalisateurs, producteurs, critiques et professeurs de cinéma. Dans l’ensemble, notre thèse s’attache à montrer comment, au milieu des années 1990, la Munhwawon sedae a marqué la fin de « l’âge sombre » du cinéma sud-coréen. En se positionnant de cette manière, au cœur d’une nouvelle vague artistique et politique, elle a contribué à établir une nouvelle élite culturelle sud-coréenne. La Munhwawon sedae était donc à la fois la première bénéficiaire des changements de contexte social autour du cinéma en Corée du Sud et la facilitatrice de la légitimation culturelle du cinéma sud-coréen. Pour plus d’informations, voir le carnet du CRC.

CONFERENCE – TEMOIGNAGE

INVITATION

à rencontrer et écouter les deux auteures

du livre « Deux Coréennes »

Jeudi 7 Novembre 2019 14H-16h

LIBRAIRIE POLONAISE

123 Boulevard St Germain 75006 Paris

Métro Odeon/Mabillon/St Germain

Entrée Libre

Séance de dédicace à l’issue de la conférence

Places limitées

RSVP maduncan33@gmail.com

Affiche (PDF)

L’heure pour le RESCOR de dresser le bilan de sa décennie approche ! Telle sera la tâche que le RESCOR 2 aura à mener à bien d’ici à ce que le projet prenne fin. Son renouvellement pour une cinquième et ultime année a en effet été accepté par l’Academy of Korean Studies sur la base du rapport de quatrième année déposé en juin dernier. Les mois à venir seront donc l’occasion d’examiner et de conclure deux quinquennats riches en initiatives ayant contribué au rayonnement des études coréennes non seulement dans l’Hexagone mais également à travers le monde francophone.

Parmi les avancées accomplies depuis l’été, chacun pourra se réjouir de la mise en ligne du Livre blanc des études coréennes en France paru en 2018 sous la direction d’Alain Delissen et Yannick Bruneton. Disponible sur le site web du réseau depuis le mois de juillet, l’ouvrage est actuellement en cours de mise à jour. Toujours sur le site, l’on pourra également découvrir les dix-huit articles de la traduction de « L’histoire de la Corée du Sud lue à travers les débats » (논쟁으로 읽는 한국사, 역사비평사, 2009) grâce à un travail de mise en page ayant notamment consisté à aligner les textes coréens et français.

Enfin, nombreux sont les chantiers en voie de développement. Ainsi de la mise à disposition du Fonds Daniel Bouchez, lequel a été déposé par le RESCOR aux Services des archives de l’UPD au printemps 2019 et est désormais en attente de classement. Sur le front des matériaux pédagogiques accessibles en ligne, les membres du réseau sont en train d’élargir la collection déjà existante en préparant des documents issus des différentes disciplines des sciences sociales, à commencer par un ensemble de données sur la politique coréenne promises par l’auteure du présent éditorial. Pour finir, une nouvelle vague de billets de retour de terrain est attendue sur le site web maintenant que l’appel d’offre de bourses 2019-2020 vient de paraître !

Justine Guichard
Membre du Réseau des Études sur la Corée

Maîtresse de conférences à l’Université Paris Diderot

 

Appel d’offre de bourses 2020 – Post-doctorat

Le RESCOR attribue une bourse postdoctorale en 2020 de durée déterminée de 8 mois pour tout projet pouvant entrer dans le vaste domaine des études coréennes. Toutes les disciplines des sciences humaines et sociales sont donc concernées.

La bourse ne permet pas d’avoir une charge de cours à l’université.

Éligibilité : Le candidat doit avoir soutenu un doctorat rédigé en langue française dans les cinq ans précédant l’année de candidature. La thèse et le projet de post-doctorat, doivent s’inscrire dans le domaine des études coréennes.

Conditions

– Durée de la bourse : 8 mois, de janvier à août 2020

– Montant : 12 000€ nets

Date limite de candidature : 22/11/2019

Composition des dossiers :

– Lettre de motivation circonstanciée décrivant précisément le projet (3 pages maximum)

– CV

– Le rapport de thèse

– Une lettre de soutien

Les dossiers de candidature incomplets ou ne correspondant pas à la description ci-dessus ne seront pas pris en compte. L’évaluation des candidatures sera assurée par un jury de sélection et les résultats seront communiqués en décembre 2019.

Dossiers de candidature à adresser à : mylene.lacle@univ-paris-diderot.fr

Version imprimable

Appel d’offre de bourses 2020 – Doctorat

Le RESCOR attribue des bourses doctorales de durée déterminée (1 à 4 mois) pour tout projet pouvant entrer dans le vaste domaine des études coréennes. Toutes les disciplines des sciences humaines et sociales sont donc concernées. La bourse peut financer toutes les étapes de la réalisation de la thèse (formation, enquête de terrain, archives, rédaction…). La mobilité n’est pas obligatoire. Il est à préciser que les postes salariaux à temps plein ne sont pas cumulables avec les bourses doctorales.

Éligibilité : Le candidat doit être inscrit en doctorat dans un établissement français. Son projet de thèse doit s’inscrire dans le domaine des études coréennes sans distinction de filière.

Conditions

– Durée des bourses : 1 à 4 mois, pour un démarrage entre janvier et août 2020

– Montant mensuel : 1200€ nets

Date limite de candidature : 22/11/2019 (délai strict)

Composition des dossiers :

– Lettre de motivation décrivant précisément le projet de recherche incluant les références pertinentes

– Une évaluation précise du budget nécessaire avec un programme de terrain détaillé (une page maximum) – exemple : lieu d’enquête, archives

– CV

– Lettre de soutien du tuteur

Les dossiers de candidature incomplets ou ne correspondant pas à la description ci-dessus ne seront pas pris en compte. L’évaluation des candidatures sera assurée par un jury de sélection et les résultats seront communiqués en décembre 2019.

Dossiers de candidature à adresser à : mylene.lacle@univ-paris-diderot.fr

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Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS